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Diaspora ペーパーバック – 1999/4/1
英語版
Greg Egan
(著)
In a new world of digital beings, where humans have chosen to be forever digitized, have selected renewable robotic bodies, or remain flesh on Earth, a devastating event puts the Fleshers in danger from beings that can reshape subatomic particles and transcend time.
- 言語英語
- 出版社Demco Media
- 発売日1999/4/1
- 寸法11.43 x 3.81 x 17.78 cm
- ISBN-100606186875
- ISBN-13978-0606186872
登録情報
- 出版社 : Demco Media (1999/4/1)
- 発売日 : 1999/4/1
- 言語 : 英語
- ISBN-10 : 0606186875
- ISBN-13 : 978-0606186872
- 寸法 : 11.43 x 3.81 x 17.78 cm
- カスタマーレビュー:
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カスタマーレビュー
星5つ中4.3つ
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トップレビュー
上位レビュー、対象国: 日本
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2022年5月1日に日本でレビュー済み
Amazonで購入
I love the concepts used in this book, particularly discussion of the self and motivations in an essentially immortal society. My issue is that it has waaay too much math. If there were easy to understand examples for the subatomic concepts and math discussed, it'd be one thing, but I felt I could not keep up a lot of the time during those scenes.
他の国からのトップレビュー
Mattias Guilotte
5つ星のうち5.0
one of a kind
2024年5月7日にアメリカ合衆国でレビュー済みAmazonで購入
Deeply fascinating. Beautiful. Greg Egan writes like like no other. This is the third time that I read Diaspora and it's great. Thanks Greg!
Steersman
5つ星のうち5.0
A mind expanding vision
2021年2月20日にドイツでレビュー済みAmazonで購入
Diaspora takes the reader on a journey spanning billions of years and enormous number of ideas. It is an exhilarating, exiting, and inspiring read showing what science fiction is capable of, it tries really to understand science and then to take the predictions seriously and extrapolate them.
This book touches on major ideas about the nature of math, consciousness, the future of mankind and the questions of fundamental physics. It also touches on the question on the longevity. What does it mean if an individual can live forever, what kind of life would and could it be? And to defy the apologetics of death it shows that people with enough interest in nature, art and other people could live meaningful and almost infinite lives.
I really enjoyed this book, however, I am not quite sure whether people with less serious background in science are enjoying it as much. But maybe they are able to discover different aspects of it. One of the books which keeps me thinking long after I have read them through. It is a true gem.
This book touches on major ideas about the nature of math, consciousness, the future of mankind and the questions of fundamental physics. It also touches on the question on the longevity. What does it mean if an individual can live forever, what kind of life would and could it be? And to defy the apologetics of death it shows that people with enough interest in nature, art and other people could live meaningful and almost infinite lives.
I really enjoyed this book, however, I am not quite sure whether people with less serious background in science are enjoying it as much. But maybe they are able to discover different aspects of it. One of the books which keeps me thinking long after I have read them through. It is a true gem.
Paul Ogilvie
5つ星のうち3.0
Interesting but difficult to comprehend
2019年1月7日にオランダでレビュー済みAmazonで購入
The book describes a diaspora through multiple dimensions, universes and galaxies. It contains (what seems) sound physics. But you need a Ph. D in physics to understand it.
FeydRautha
5つ星のうち5.0
Un chef d'oeuvre de hard-SF
2018年12月30日にフランスでレビュー済みAmazonで購入
Diaspora débute en 2975. Depuis la fin du XXIe siècle, des humains ont choisi de laisser derrière eux la vie biologique et ont téléchargé leur personnalité. Notons que cette forme extrême de transhumanisme est une des marottes d’Egan, et se retrouve dans plusieurs de ses textes. Neuf siècles plus tard, l’humanité se divise en trois groupes distincts dont les contacts, peu nombreux, sont soumis à des règles strictes de respect distant et de non intervention.
Le groupe le plus vaste, celui dont le roman suit le développement, est constitué des citoyens (Citizens). Ceux-ci ont opté pour la dématérialisation complète et existent sous forme de programmes informatiques. Ils vivent dans des polis, sorte de métropoles dont les supports physiques sont des centres de stockage de données enfouis profondément sous terre. Les citoyens de première génération viennent de la digitalisation d’humains biologiques. De nouveaux citoyens sont créés par clonage d’un individu, par mélange des ADN synthétiques de deux parents, ou par génération d’orphelins. Le premier chapitre du livre est un moment de hard-SF à lui tout seul et décrit la création d’un orphelin et son éveil à la conscience. Véritable tour de force science-fictif, ce chapitre justifie entièrement l’achat du roman. Ou aurait pu constituer une nouvelle. (L’un des chapitres a d’ailleurs été publié presque à l’identique, deux ans avant le roman, dans la nouvelle Wang’s Carpets, que l’on retrouve sous le titre Les Tapis de Wang en français dans le recueil Océanique.) Et ce n’est que le début !
Un roman ne pouvant faire abstraction complète d’une nécessaire empathie entre ses lecteurs et ses personnages, Greg Egan n’écrit pas des pages et des pages de code informatique et ne fait pas le récit d’influx électriques sur des substrats de semi-conducteurs, alors que c’est réellement cela qui se passe. Pour préserver la santé mentale de ses lecteurs, et aussi garder un lectorat, il choisit de faire interagir les citoyens dans des simulations d’environnements sous la forme d’avatars. On respire ! Le roman suit ainsi les aventures de quelques citoyens dématérialisés aux personnalités bien établies et identifiables.
Le second groupe, en terme de population, est constitué des gleisners. Eux aussi ont choisi une vie sous la forme de programmes informatiques, mais sont restés attachés à une certaine matérialité et ont adopté des corps de robots synthétiques. Contrairement aux Citizens, qui vivent 800 fois plus vite que les humains biologiques, les gleisners vivent en temps « normal ». Ils ont accepté de quitter la Terre pour éviter les conflits et vivent essentiellement dans l’espace, ayant colonisé le système solaire. Alors que les citoyens des polis développent une science théorique, les gleisners ont une science appliquée et construisent des observatoires, des vaisseaux spatiaux…
Le troisième groupe, composé de quelques dizaines de milliers d’individus, est constitué des fleshers. Eux ont choisi de s’accrocher à la biologie, à la surface de la Terre, soit sous la forme conservatrice d’Homo sapiens, soit sous une forme transhumaniste en modifiant, parfois radicalement, leur génome.
Le drame et la diaspora
Un incident cosmique, l’écroulement d’une double étoile à neutrons, va déclencher un cataclysme sur la Terre et mettre un terme à cette organisation humaine. La survie de l’humanité va passer par la nécessaire évasion vers d’autres horizons. C’est ainsi que va se constituer une diaspora humaine et interstellaire. Les gleisners s’envolent à bord de leurs 23 vaisseaux spatiaux vers différentes destinations dans la galaxie. Les citoyens vont mille fois se cloner et se répandre dans l’univers. Sans pour autant quitter totalement la Terre pour une partie d’entre eux. Dans un premier temps, leur but sera de tenter de comprendre comment cet incident cosmique a pu se produire. Cela va les emmener dans une exploration de la galaxie et au-delà, à la rencontre d’autres formes de vie, et à remettre en question leur vision de l’univers, de sa physique et de son histoire.
De nouveaux paradigmes
Je serais tenté, pour simplifier, de diviser les écrits de Greg Egan en deux grandes catégories. Ceux qui relèvent de la fiction spéculative à court terme, dans laquelle il explore les conséquences d’une nouvelle technologie. C’est la forme que l’on retrouve dans beaucoup de ses nouvelles ou dans les romans L’énigme de l’univers, Téranésie, Isolation, ou La cité des permutants. Et ceux qui relèvent des mondes imaginaires, à l’image de la trilogie Orthogonal ou des romans Dichronauts et Phoresis. Entre les deux, il arrive à Egan de partir de notre monde, de se projeter dans l’espace et d’y explorer la physique. C’est le cas des romans Schild’s Ladder et Diaspora. Schild’s Ladder est difficile d’accès. Diaspora ne l’est pas. Il faut bien sûr supporter la lecture d’explications scientifiques, mais dans ce roman Greg Egan fait l’effort d’expliquer clairement, d’illustrer avec des images simples, pour parler d’une physique hypothétique, inspirée des travaux réels de John Wheeler. Greg Egan imagine un univers en plus de dimensions qu’il n’en faut pour avoir le vertige. Il échafaude des modèles, les démonte et les remplace par d’autres. Le tout n’est jamais indigeste (en fonction de votre degré de tolérance), et surtout cela sert le propos. Contrairement à Schild’s Ladder, où la physique est le personnage principal et quasi-exclusif du roman, la thématique de Diaspora est l’humain. Greg Egan lance une diaspora humaine pour penser la vie, l’existence, pour mieux en éprouver les contours. Il centre son questionnement sur ce qui fait l’humain au-delà du corps biologique, au-delà de la physique de l’univers tel qu’on le connait. Plus on avance dans le roman, et plus les choses accélèrent et prennent de l’ampleur. La partie finale s’inscrit dans la démesure de ce qui se fait de mieux au niveau sense of wonder en SF. Préparez-vous à voir grand.
Le groupe le plus vaste, celui dont le roman suit le développement, est constitué des citoyens (Citizens). Ceux-ci ont opté pour la dématérialisation complète et existent sous forme de programmes informatiques. Ils vivent dans des polis, sorte de métropoles dont les supports physiques sont des centres de stockage de données enfouis profondément sous terre. Les citoyens de première génération viennent de la digitalisation d’humains biologiques. De nouveaux citoyens sont créés par clonage d’un individu, par mélange des ADN synthétiques de deux parents, ou par génération d’orphelins. Le premier chapitre du livre est un moment de hard-SF à lui tout seul et décrit la création d’un orphelin et son éveil à la conscience. Véritable tour de force science-fictif, ce chapitre justifie entièrement l’achat du roman. Ou aurait pu constituer une nouvelle. (L’un des chapitres a d’ailleurs été publié presque à l’identique, deux ans avant le roman, dans la nouvelle Wang’s Carpets, que l’on retrouve sous le titre Les Tapis de Wang en français dans le recueil Océanique.) Et ce n’est que le début !
Un roman ne pouvant faire abstraction complète d’une nécessaire empathie entre ses lecteurs et ses personnages, Greg Egan n’écrit pas des pages et des pages de code informatique et ne fait pas le récit d’influx électriques sur des substrats de semi-conducteurs, alors que c’est réellement cela qui se passe. Pour préserver la santé mentale de ses lecteurs, et aussi garder un lectorat, il choisit de faire interagir les citoyens dans des simulations d’environnements sous la forme d’avatars. On respire ! Le roman suit ainsi les aventures de quelques citoyens dématérialisés aux personnalités bien établies et identifiables.
Le second groupe, en terme de population, est constitué des gleisners. Eux aussi ont choisi une vie sous la forme de programmes informatiques, mais sont restés attachés à une certaine matérialité et ont adopté des corps de robots synthétiques. Contrairement aux Citizens, qui vivent 800 fois plus vite que les humains biologiques, les gleisners vivent en temps « normal ». Ils ont accepté de quitter la Terre pour éviter les conflits et vivent essentiellement dans l’espace, ayant colonisé le système solaire. Alors que les citoyens des polis développent une science théorique, les gleisners ont une science appliquée et construisent des observatoires, des vaisseaux spatiaux…
Le troisième groupe, composé de quelques dizaines de milliers d’individus, est constitué des fleshers. Eux ont choisi de s’accrocher à la biologie, à la surface de la Terre, soit sous la forme conservatrice d’Homo sapiens, soit sous une forme transhumaniste en modifiant, parfois radicalement, leur génome.
Le drame et la diaspora
Un incident cosmique, l’écroulement d’une double étoile à neutrons, va déclencher un cataclysme sur la Terre et mettre un terme à cette organisation humaine. La survie de l’humanité va passer par la nécessaire évasion vers d’autres horizons. C’est ainsi que va se constituer une diaspora humaine et interstellaire. Les gleisners s’envolent à bord de leurs 23 vaisseaux spatiaux vers différentes destinations dans la galaxie. Les citoyens vont mille fois se cloner et se répandre dans l’univers. Sans pour autant quitter totalement la Terre pour une partie d’entre eux. Dans un premier temps, leur but sera de tenter de comprendre comment cet incident cosmique a pu se produire. Cela va les emmener dans une exploration de la galaxie et au-delà, à la rencontre d’autres formes de vie, et à remettre en question leur vision de l’univers, de sa physique et de son histoire.
De nouveaux paradigmes
Je serais tenté, pour simplifier, de diviser les écrits de Greg Egan en deux grandes catégories. Ceux qui relèvent de la fiction spéculative à court terme, dans laquelle il explore les conséquences d’une nouvelle technologie. C’est la forme que l’on retrouve dans beaucoup de ses nouvelles ou dans les romans L’énigme de l’univers, Téranésie, Isolation, ou La cité des permutants. Et ceux qui relèvent des mondes imaginaires, à l’image de la trilogie Orthogonal ou des romans Dichronauts et Phoresis. Entre les deux, il arrive à Egan de partir de notre monde, de se projeter dans l’espace et d’y explorer la physique. C’est le cas des romans Schild’s Ladder et Diaspora. Schild’s Ladder est difficile d’accès. Diaspora ne l’est pas. Il faut bien sûr supporter la lecture d’explications scientifiques, mais dans ce roman Greg Egan fait l’effort d’expliquer clairement, d’illustrer avec des images simples, pour parler d’une physique hypothétique, inspirée des travaux réels de John Wheeler. Greg Egan imagine un univers en plus de dimensions qu’il n’en faut pour avoir le vertige. Il échafaude des modèles, les démonte et les remplace par d’autres. Le tout n’est jamais indigeste (en fonction de votre degré de tolérance), et surtout cela sert le propos. Contrairement à Schild’s Ladder, où la physique est le personnage principal et quasi-exclusif du roman, la thématique de Diaspora est l’humain. Greg Egan lance une diaspora humaine pour penser la vie, l’existence, pour mieux en éprouver les contours. Il centre son questionnement sur ce qui fait l’humain au-delà du corps biologique, au-delà de la physique de l’univers tel qu’on le connait. Plus on avance dans le roman, et plus les choses accélèrent et prennent de l’ampleur. La partie finale s’inscrit dans la démesure de ce qui se fait de mieux au niveau sense of wonder en SF. Préparez-vous à voir grand.
Adrián
5つ星のうち3.0
Una trama interesante, pero...
2017年2月23日にメキシコでレビュー済みAmazonで購入
Mi única objeción con la narrativa es el exceso de detalles, que si bien ayudan a comprender lo complicado de un mundo existente dentro de una computadora, en momentos llegan a ser excesivos y dificultan la lectura.