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L' Amant De Lady Chatterley マスマーケット – 1973/5/1
フランス語版
D. H. Lawrence
(著)
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- ISBN-102070387437
- ISBN-13978-2070387434
- 出版社Gallimard-Jeunesse
- 発売日1973/5/1
- 言語フランス語
- 寸法11 x 2.2 x 18 cm
登録情報
- 出版社 : Gallimard-Jeunesse (1973/5/1)
- 発売日 : 1973/5/1
- 言語 : フランス語
- ISBN-10 : 2070387437
- ISBN-13 : 978-2070387434
- 寸法 : 11 x 2.2 x 18 cm
- カスタマーレビュー:
他の国からのトップレビュー
Corine
5つ星のうち5.0
Super
2023年3月26日にカナダでレビュー済みAmazonで購入
Histoire bonne ,bien écrit
freddiefreejazz
5つ星のうち5.0
seuls sont les indomptés...
2020年3月23日にフランスでレビュー済みAmazonで購入
Le chapitre 1 commence ainsi : « Nous vivons dans un âge essentiellement tragique; aussi refusons-nous de le prendre au tragique. Le cataclysme est accompli; nous commençons à bâtir de nouveau petits habitats, à fonder de nouveaux petits espoirs. C'est un travail assez dur : il n'y a plus maintenant de route aisée vers l'avenir : nous tournons les obstacles ou nous grimpons péniblement par-dessus. Il faut bien que nous vivions, malgré la chute de tant de cieux. Telle était à peu près la situation de Constance Chatterley. La guerre avait fait écrouler les toits sur sa tête. Et elle avait compris qu'il faut vivre et apprendre. Elle avait épousé Clifford Chatterley en 1917, pendant une permission d'un mois qu'il avait passée en Angleterre ». C'est le premier roman de D.H. Lawrence que je lis. Un roman « culte » certes, mais un roman surtout personnel. Très personnel. L'un de mes préférés et l'un des plus marquants. Officier de l’armée britannique, le mari se trouve estropié à vie, après une permission qui lui a permis d'épouser Constance. Au lendemain de la guerre (nous sommes en 1919), Constance découvre la Nature et va peu à peu se révolter et se désintéresser du milieu aristocratique auquel elle appartient. C'est aussi un roman « féministe » écrit par un homme qui en a assez des clichés et des schémas imposés par la société. Une société anglaise corsetée, puritaine (dans le mauvais sens du terme). C'est enfin et surtout un roman que j'ai dévoré en l'espace d'une semaine. Un roman qui change votre regard, à jamais. Un roman profondément humain. Et puis, au fil du récit, il y a ces phrases qui vous claquent dans la goule.
Quelques flashbacks au début nous permettent de suivre l'itinéraire de Constance et Hilda, sa soeur. Initiation à l'acte sexuel, initiation à l'amour, au don de soi. Mais rien de pornographique par ici. Tout est extrêmement pudique. Très vite, on voit aussi le ridicule de certaines autorités, l'absurdité des hommes, le gouffre infranchissable aussi entre Constance et son mari, devenu impuissant puisque paralysé depuis le bassin inférieur. Et ainsi, résignée, Constance se dit qu'à chaque jour suffit sa peine et qu'à chaque moment suffit l'apparence de la réalité... Pourquoi y aurait-il quelque chose au fond ? Pourquoi dureraient-elles ? Constance est vague et paisible à la fois. Elle subit surtout... jusqu'à cette inquiétude croissante qu'elle éprouvera et la fera sortir de sa demeure, jusqu'à faire la connaissance de l'homme des bois... L'Angleterre contemporaine est donc morte pour D.H. Lawrence. Elle est morte comme est mort physiquement le mari de Constance. Ou disons, elle est à l'agonie. En cela, Lawrence anticipe ce qui se passera plus tard. Oh, non, Lawrence n'est pas un nationaliste, ni un nostalgique. Il est seulement un observateur. Et jamais observateur ne fut aussi génialement critique de son époque. Nous sommes donc au lendemain de la première guerre mondiale, avec ses gueules cassées, ses morts, ses tombes, et ses désillusions.
Ce roman a souvent été mal compris ou interprété. Jugé antiféministe par les uns, scabreux et indécent par d'autres, toutes ces critiques n'eurent aucun sens. Certes, tout le monde en prend pour son grade : les artistes, les femmes, les hommes, les écrivains, l'éducation, la politique, l'armée, etc. Certains ont longtemps glosé, à tort aussi, sur le fait que L'Amant de Lady Chatterley était un roman sur le sexe et un roman de sexe. C'est hyper réducteur et surtout archi-faux. Rien de scabreux ni de pornographique par ici. Pour ma part, même si j'y ai vu une trame romanesque entre le chasseur et Constance, il est surtout question de conscience. Un roman politique, un roman d'espace, de territoire et de géographie, un roman social également qui fustige la notion de Progrès. Un roman total, pourrait-on dire. Avec une qualité narrative impressionnante. C'est enfin un roman sur la notion d'appartenance : à quoi j'appartiens ? A qui ? Aux autres ? A une communauté ? A un pays ? A une nation ? A un travail ? A soi-même ? Quel est le sens du couple ? Quel est le sens de l'individualisme et celui de l'instinct grégaire ? A toutes ces questions, D.H. Lawrence répond avec une exactitude et une franchise inouïe. C'est surtout une histoire poétique (rarement un roman ne m'avait à ce point comblé de toute manière). Lu l'an passé en l'espace d'une semaine (j'ai dévoré ce bouquin, m'en suis délecté, comme rarement j'ai eu l'occasion de le faire, hormis sans doute pour Jude L'Obscur de Thomas Hardy, Anna Karénine de Tolstoï, Le Père Goriot de Balzac, Bel Ami de Maupassant, et d'autres encore). Le terme classique n'est pas usurpé ni galvaudé, vous l'aurez saisi. D.H. Lawrence en profite aussi pour ratiboiser son pays, l'accusant de tous les maux (révolution industrielle qui déshumanise le monde et asphyxie la Nature, progrès par ci, progrès par là sans y voir le revers de la médaille, la course effrénée vers ce progrès). Bref, pour moi, c'est le roman par excellence.
Quelques flashbacks au début nous permettent de suivre l'itinéraire de Constance et Hilda, sa soeur. Initiation à l'acte sexuel, initiation à l'amour, au don de soi. Mais rien de pornographique par ici. Tout est extrêmement pudique. Très vite, on voit aussi le ridicule de certaines autorités, l'absurdité des hommes, le gouffre infranchissable aussi entre Constance et son mari, devenu impuissant puisque paralysé depuis le bassin inférieur. Et ainsi, résignée, Constance se dit qu'à chaque jour suffit sa peine et qu'à chaque moment suffit l'apparence de la réalité... Pourquoi y aurait-il quelque chose au fond ? Pourquoi dureraient-elles ? Constance est vague et paisible à la fois. Elle subit surtout... jusqu'à cette inquiétude croissante qu'elle éprouvera et la fera sortir de sa demeure, jusqu'à faire la connaissance de l'homme des bois... L'Angleterre contemporaine est donc morte pour D.H. Lawrence. Elle est morte comme est mort physiquement le mari de Constance. Ou disons, elle est à l'agonie. En cela, Lawrence anticipe ce qui se passera plus tard. Oh, non, Lawrence n'est pas un nationaliste, ni un nostalgique. Il est seulement un observateur. Et jamais observateur ne fut aussi génialement critique de son époque. Nous sommes donc au lendemain de la première guerre mondiale, avec ses gueules cassées, ses morts, ses tombes, et ses désillusions.
Ce roman a souvent été mal compris ou interprété. Jugé antiféministe par les uns, scabreux et indécent par d'autres, toutes ces critiques n'eurent aucun sens. Certes, tout le monde en prend pour son grade : les artistes, les femmes, les hommes, les écrivains, l'éducation, la politique, l'armée, etc. Certains ont longtemps glosé, à tort aussi, sur le fait que L'Amant de Lady Chatterley était un roman sur le sexe et un roman de sexe. C'est hyper réducteur et surtout archi-faux. Rien de scabreux ni de pornographique par ici. Pour ma part, même si j'y ai vu une trame romanesque entre le chasseur et Constance, il est surtout question de conscience. Un roman politique, un roman d'espace, de territoire et de géographie, un roman social également qui fustige la notion de Progrès. Un roman total, pourrait-on dire. Avec une qualité narrative impressionnante. C'est enfin un roman sur la notion d'appartenance : à quoi j'appartiens ? A qui ? Aux autres ? A une communauté ? A un pays ? A une nation ? A un travail ? A soi-même ? Quel est le sens du couple ? Quel est le sens de l'individualisme et celui de l'instinct grégaire ? A toutes ces questions, D.H. Lawrence répond avec une exactitude et une franchise inouïe. C'est surtout une histoire poétique (rarement un roman ne m'avait à ce point comblé de toute manière). Lu l'an passé en l'espace d'une semaine (j'ai dévoré ce bouquin, m'en suis délecté, comme rarement j'ai eu l'occasion de le faire, hormis sans doute pour Jude L'Obscur de Thomas Hardy, Anna Karénine de Tolstoï, Le Père Goriot de Balzac, Bel Ami de Maupassant, et d'autres encore). Le terme classique n'est pas usurpé ni galvaudé, vous l'aurez saisi. D.H. Lawrence en profite aussi pour ratiboiser son pays, l'accusant de tous les maux (révolution industrielle qui déshumanise le monde et asphyxie la Nature, progrès par ci, progrès par là sans y voir le revers de la médaille, la course effrénée vers ce progrès). Bref, pour moi, c'est le roman par excellence.
Marie-Ève
5つ星のうち5.0
Excellent
2023年1月11日にカナダでレビュー済みAmazonで購入
Une belle découverte, merveilleusement écrit!
claude
5つ星のうち5.0
ras
2023年12月20日にフランスでレビュー済みAmazonで購入
super et bonne lecture
delgado
5つ星のうち4.0
Une émotion que je ne saurai décrire
2024年4月1日にフランスでレビュー済みAmazonで購入
Lisez le et apaisez votre cœur romantique dans cette idylle compliqué mais si belle et si tendre voir un sentiment à l'état de graine pousser comme une fleur, voici ce que c'est cette histoire. Poussée a vivre une situation compliqué on vois cette femme ne pouvant resignée a sa féminité se laisse prendre dans les bras d'un autre malgré elle, lisez et ressentez.