5つ星のうち5.0Le quatuor Balanescu, à découvrir absolument par ceux qui aiment la "musique contemporaine" dans sa diversité.
2016年4月1日にフランスでレビュー済み
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Je n'ai découvert que récemment le quatuor Balanescu et son créateur Alexander Balanescu grâce à un cousin compositeur et musicien. Je ne le connaissais pas auparavant. Alexander Balanescu a joué de la musique contemporaine au sein du quatuor Arditti puis a créé son propre quatuor en 1987. Ce quatuor a produit peu d'albums mais chacun est un bijou. "Possessed" de 1992 réinterprète la musique électronique du groupe allemand Kraftwerk. Jouer en quatuor à cordes de la musique initialement électronique, il faut oser ! "Luminitza" de 1994 est très lié à l'histoire de la Roumanie depuis 1989. "Maria T" de 2005 s'inspire des chansons de la chanteuse roumaine Maria Tanase (1913-1963) que l'on a souvent définie comme l'Edith Piaf roumaine. Je n'ai pas écouté l'album "Angels and Insects" de 1996. Difficile de définir la musique du Balanescu Quartet. Peut-être qu'en disant que ce sont de talentueux musiciens contemporains qui font tomber les barrières musicales sans pour autant sombrer dans le relativisme culturel, on en donne un portrait juste mais incomplet. Et une mention élogieuse spéciale pour le vendeur "worldofbooksfr". L'article est arrivé avec onze jours de retard sur la date prévue mais le vendeur m'a remboursé intégralement après que je le lui aie signalé.
Alexander Balanescu ist es gelungen, die moderne "ernste" Musik aus ihrem Elfenbeinturm zu befreien. Ein Komponist, der mit seinem Streichquartett die eigenen Musik auch selbst spielt. Teils unüberhörbare Bezugnahme auf seine rumänische Herkunft, an anderen Stellen nahezu barocke Anklänge. Manch ein Vertreter der musikalischen Hochkultur mag vielleicht die Nase rümpfen ob der Abkehr von der hehren Atonalität der Moderne und Hinwendung zu den Niederungen der Harmonie. Ich halte Luminitza für ein Meisterwerk, das getrennte Welten miteinander versöhnt. Ernsthaft ohne steif zu sein, melodisch aber nicht kitschig, niemals langweilig, postmodern im besten Sinne.