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フレイミング・パイ

4.7 5つ星のうち4.7 1,607個の評価


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曲目リスト

1 ザ・ソング・ウィー・ワー・シンギング
2 ザ・ワールド・トゥナイト
3 イフ・ユー・ウォナ
4 サムデイズ
5 ヤング・ボーイ
6 カリコ・スカイズ
7 フレイミング・パイ
8 ヘヴン・オン・ア・サンデイ
9 ユースト・トゥ・ビー・バッド
10 スーヴェニア
11 リトル・ウィロー
12 リアリー・ラヴ・ユー
13 ビューティフル・ナイト
14 グレイト・デイ

商品の説明

Amazonレビュー

サー・ポールが再び優れたポップ・ソングを発表してくれることを誰もがあきらめた頃、彼は態度を一変させ、1970年代半ば以降のものとしては最高のアルバムを送り出して皆を驚かせた。ビートルズの「Anthology」シリーズの制作に関わったことで、ポールは長い間忘れていた音楽的指標を思い出し、真剣に向き合わざるを得なくなったのだ。

本作の多くのトラックにはジェフ・リンが参加。だがリンは決して出しゃばらず、引き立て役に徹しており、ポールがほとんどの歌と演奏を一手に引き受けた。リンゴとギタリストのスティーヴ・ミラーのサポートもあるが、この2人の存在はありがた迷惑の感もある。ここに並んだ曲の数々は、全盛期の高みには及ばないものの、かつてのポールの紛れもない才人ぶりを思い出させてくれる。聴いていて楽しい1枚なのだ。(Chris Nickson, Amazon.co.uk)

Product Description

Japanese edition of his new album, 14 tracks including the single 'Young Boy'.

登録情報

  • メーカーにより製造中止になりました ‏ : ‎ いいえ
  • メーカー ‏ : ‎ EMIミュージック・ジャパン
  • EAN ‏ : ‎ 4988006729247
  • 時間 ‏ : ‎ 54 分
  • レーベル ‏ : ‎ EMIミュージック・ジャパン
  • ASIN ‏ : ‎ B000026WVL
  • ディスク枚数 ‏ : ‎ 1
  • カスタマーレビュー:
    4.7 5つ星のうち4.7 1,607個の評価

カスタマーレビュー

星5つ中4.7つ
5つのうち4.7つ
1,607グローバルレーティング

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上位レビュー、対象国: 日本

2021年6月2日に日本でレビュー済み
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2人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2020年9月27日に日本でレビュー済み
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2人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2020年10月7日に日本でレビュー済み
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2020年8月15日に日本でレビュー済み
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7人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2021年2月19日に日本でレビュー済み
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1人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2020年8月23日に日本でレビュー済み
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16人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2020年8月11日に日本でレビュー済み
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2021年1月8日に日本でレビュー済み
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Daniel
5つ星のうち5.0 CD Paul Mc Cartney
2023年12月4日にカナダでレビュー済み
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Michele Masullo
5つ星のうち5.0 Il miglior album post Beatles
2023年7月29日にイタリアでレビュー済み
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Caiuby
5つ星のうち5.0 Muito Bom.
2020年12月20日にブラジルでレビュー済み
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ecce.om
5つ星のうち5.0 Fingers in the Flaming Pie and in The Nose
2020年9月6日にフランスでレビュー済み
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ecce.om
5つ星のうち5.0 Fingers in the Flaming Pie and in The Nose
2020年9月6日にフランスでレビュー済み
Il y a quelques années, j’avais rendu visite à Paulo dans sa ferme du Sussex. Nous devisions gentiment, une tasse de thé à la main. Linda (RIP) vaquait dans la cuisine, entre quiches aux brocolis du Japon, tartare de bégonias à l’épeautre, et les petits-enfants qui gambadaient partout. C’était sympa.

Toujours affable, Paulo me demanda si je voulais bien écouter quelques chansons qu’il gardait par-devers lui, à l’état d’ébauches, pour lui donner mon avis. Je n’avais rien d’autre à faire : pourquoi pas ?!

Et c’est là, sur un coin de table que l’ex-Beatles me joua "The Song We Were Singing", « The World Tonight", "If You Wanna", "Somedays", "Young Boy", "Calico Skies", "Flaming Pie", "Souvenir", "Little Willow", "Great Day". Il me fit aussi écouter quelques démos enregistrées en studio, sans parler de maquettes diverses au mix plus ou moins avancé : « Beautiful Night », “Whole Life”, “Heaven On A Sunday”, “Great Day”, “Calico Skies”.

J’ai trouvé ça plutôt sympa, joué à la bonne franquette, avec les bruits domestiques d’ambiance. Je l’ai donc encouragé à poursuivre et en faire un album dans une veine intimiste.

C’est ainsi que sortit « Flaming Pie » en 1997 les maquettes ayant été finalisées, avec discrétion et goût. Je n’en tirais aucune gloriole, mais le disque était excellent.

Aujourd’hui en 2020, il ressort dans la série « Archive collection », remasterisé et avec les démos et bonus figurant sur un 2ème CD. Cette édition permet une plongée assez fascinante sur le processus d’écriture de chansons de McCartney et ce talent naturel, prêt à jaillir à la moindre occasion.

On retrouve avec Flaming Pie, un McCartney qui a renoncé à la course un peu vaine au tube à tout prix et aux expériences peu concluantes d’être dans le coup, avec des gadgets électroniques et des productions clinquantes.

Ici, on a de la chanson intemporelle et une démonstration époustouflante d’un artiste à l’oeuvre : compositeur, chanteur, multi-instrumentiste. Guitares, basses, piano, batterie, harmonium, mellotron..., Macca fait tout le boulot, juste aidé par moments par Jeff Lynne, Steve Miller sur un titre (« Used To Be Bad »), Ringo, sur 2 titres (« Beautiful Night » et « Really Love You » qu’il co-signe) et George Martin qui habille somptueusement "Calico Skies" et « Great Day ». Signalons aussi le solo de guitare du fiston James sur « Heaven On A Sunday ».

Une fois n’est pas coutume, pas une seule fausse note sur l’album qui est formidablement cohérent, bien que le fruit d’une élaboration étalée sur plusieurs années. Des années avant « Chaos And Creation In The Backyard » et le supposé rôle salvateur de Nigel Goldrich, McCartney avait déjà compris que Less pouvait être beautiful.

Le packaging est lui aussi superbe, reprenant dans un beau coffret cartonné, l’édition originale avec son portrait sobre et flou, correspondant parfaitement à l’ambiance du disque.
A l’intérieur, on retrouve le très intéressant livret illustré des photos sépia de Linda, complété des notes de Mark Lewisohn et Geoff Baker (qui joue quoi, quand, où, genèse des titres, paroles...) du CD de 1997 avec le même soin apporté au disque bonus.
Chose à signaler : on sort facilement les CD par le haut, s’évitant crise de nerfs ou déchirure de pochette.

Pour reparler musique, dans le détail.
Le disque commence par le lumineux, simple et nostalgique « The Song We Were Singing ». Des guitares, des claviers discrets ; Rien en trop. « The World Tonight » poursuit dans la même veine folk-rock. « If You Wanna » est du Everly Brothers survitaminé (même si Macca dit avoir été inspiré par …Prince), aidé par la belle guitare de Steve -the Joker- Miller.
« Somedays » est une pure merveille, McCartney à la guitare acoustique accompagné bientôt par un orchestre rameuté par George Martin. Cette chanson aurait pu figurer sans problème sur n’importe quel album des Vous savez qui.
« Young Boy » est simple, dans la lignée de « If You Wanna » avec là encore, la guitare de Miller.
« Calisco Skies » est un cran au-dessus et semble s’être échappée de l’Album blanc. Dépouillée, acoustique, parfaite.
J’adore également « Flaming Pie » et son boogie, inspiré de la fameuse plaisanterie de Lennon au sujet de l’origine du nom Beatles (un homme sur une tarte flambée qui vient lui dire : vous êtes les Beatles avec un A »).
Suit « Heaven on A Sunday ». Son premier mot “Peaceful” la résume parfaitement. Avec un solo du fiston et Linda dans les chœurs. Difficile de lui trouver un défaut, mais ce n’est pas ma préférée.
Le tempo se fait plus lourd sur le titre co-écrit avec Steve Miller : « Used to be bad ». McCartney fait une nouvelle fois la rythmique à lui tout seul, son jeu de basse et de batterie est remarquable et il a rarement été aussi proche du Blues. C’est sûr que tant qu’à faire un duo, il vaut mieux choisir Miller que Jackson.
« Souvenir » est une excursion sur le territoire de la soul. A d’autres occasions McCartney aurait sans doute surchargé cette chanson. Pas ici et c’est tant mieux.
« Little Willow » a été écrite pour les enfants d’une amie qui venait de disparaitre. (Pas plus de précision sur le livret, mais il s’agit de Maureen, la première femme de Ringo Starr). C’est sobre et élégant.
Quand on parle du batteur bagué…voici « Really Love You », sa basse monstrueuse et Ringo en co-auteur. Ça sent la jam et les années 80. Ce n’est pas mauvais loin de là, mais pas indispensable.
Par contre, certains tueraient pour seulement approcher la perfection d’une chanson comme « Beautiful Night ». Et quand les crédits annoncent McCartney, Starr, Martin, Emerick, ça rappelle furieusement quelque chose, non ? Elle se glisserait sans souci sur la face B d’Abbey Road. Oui, la B !
Clap de fin avec Great Day qui elle, mériterait sa place sur Ram.

Le disque 2 est bien évidemment plus roots (voire carrément bricolé : écoutez le bazar domestique sur « Great Day » ! ou le téléphone qui sonne sur « Souvenir »), même si le son est excellent dans ce contexte. Une voix, une guitare et roule McPoule.
Les versions enregistrées en studio sont elles, parfaites et offrent des bonus repêchés ça et là : “C’mon Down C’mon Baby”, “Looking for you”, “Broomstick”, “Love come Tumbling Down”, “Same Love”.

Si on peut regretter que « Whole Life » ou « Looking For You » n’aient pas été retenues dans le listing final car elles n’auraient pas déparé l’album, « Broomstick » un blues avec Miller, par contre, sans être infamant, n’aurait rien apporté.
« Love Come Tumbling Down » a été enregistrée en 87. Ça s’entend, hélas. Même chose pour « Same Love ». On ne dira jamais assez de mal de la production de cette époque, ce trou noir pour la musique.

Mais malgré tout et pour une fois, un disque de démos est agréable à écouter tant son atmosphère est paisible et décontractée. Tous les titres de l’album naissent sous nos oreilles et c’est assez fascinant.
Et avec 73’ 27 de contenu, on n’est pas volé.

Avec Flaming Pie, McCartney a décidé de ne plus se prendre la tête, de ne pas chercher à expérimenter, mais de s’asseoir et de respirer. Et ce bonhomme, à chaque fois qu’il respire, il pond un truc.
Et là, le truc est excellent et d'une cohérence rare.

Le son remixé est parfait, meilleur que sur certains de ses disques plus récents ("New").

Une édition superfétatoire pour les fans.
Voire au-delà.
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14人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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R. S. Stanier
5つ星のうち5.0 THE single best Paul McCartney release since The Beatles broke up
2020年8月17日に英国でレビュー済み
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7人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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