Limited Edtion. Junkie Xl (A.k.a. Tom Holkenborg) is Cornering the Market in Breakbeat Driven and Decidedly Deep Electronic Music.
Amazonレビュー
Whatever dictionary Holland's Tom Holkenborg (aka Junkie XL) uses, there are clearly a few words missing, including subtlety. His second album, picks up the post-Chemical Brothers breakbeat thrash sound of his Saturday Teenage Kicks debut and is another incessant slab of heavy metal dance floor action that's low on craft but very big on high-octane cartoon thrills. Dropping the cheesy samples favoured by his British big beat brethren, Holkenborg instead goes for lost seventies power chords, Wagnerian strings and brain-pummelling breaks. All very Prodigy, all very sub-Moby. And yet there's such an epic pop energy and pretension-free adrenaline-soaked mania to "Zerotonine", "Power Of Big Stacks" and "Legion" that make it hard to resist a fleeting grin and grind. When he turns his twiddles to tranced-out house on "Gettin' Lost" and "Bon Voyage", you can see why Sasha and Carl Cox have been getting their dance floor kicks from this deranged Dutchman. Not clever, but very big.--Calvin Bush
Product Description
Limited Edtion. Junkie Xl (A.k.a. Tom Holkenborg) is Cornering the Market in Breakbeat Driven and Decidedly Deep Electronic Music.
Favoloso secondo album di Junkie XL. Da ascoltare assolutamente! In realtà l'edizione non è quella limitata indicata (io ho preso quella venduta da: westworld e spedita da Amazon), ma pazienza...
On aurait du mal à croire que cet album impétueux, qui rappellerait plutôt le style de groupes britanniques comme The Chemical Brothers et The Prodigy ait en réalité été produit aux Pays-Bas, royaume par excellence de la trance et de la techno hardcore. Pourtant c'est le cas, et "Big Sounds Of The Drags" n'a absolument rien à voir avec d'autres néerlandais comme DJ Tiësto, Noisia ou Armin Van Buuren. Le néerlandais Junkie XL avait déja frappé très fort avec son premier opus "Saturday Teenage Kick" aux tempos ravageurs et à l'ambiance très électrique. Deux ans plus tard, en octobre 1999, Tom Holkenborg de son vrai nom nous dévoile qu'il ne comptait pas en rester là. "Big Sounds Of The Drags" est dans la parfaite continuité du précédent album, explorant plus de genres musicaux tout en gardant le rythme soutenu, et rien qu'en regardant l'image de la pochette montrant une voiture de dragster en pleine flambée (qui colle parfaitement avec le titre), on nous annonce d'ores et déjà la couleur. On met le CD, on lance le premier morceau "Check Your Basic Groove"... et ce qui nous parvient aux oreilles en guise d'introduction est digne d'une musique d'intro de jeu de voiture comme Gran Turismo : des vaches qui meuglent, des oiseaux qui chantent puis soudain, sans crier gare, un gros bruit de Formule 1 lancé à pleine puissance et la musique peut démarrer. De "Check Your Basic Groove" à "Dance USA", il n'y a aucun répit, que des morceaux survoltés bien qu'un peu harmonieux chez certains comme l'excellentissime "Zerotonine" tandis que de "Gettin' Lost" à "Next Plateau" c'est moins chaotique, plus reposant... jusqu'à ce que le final "Future In Computer Hell Part 2" (la première partie est dans l'album précédent et est plus courte mais infiniment plus bruyante) rapporte encore un peu de punch avant de conclure sur une mélodie de progressive house à la beauté infinie. Cependant cette dernière musique cache elle-même un "hidden track" qui n'est autre qu'un arrangement de jazz très harmonieux de 3-4 minutes, débutant juste après la fin de FICH et laissant place à des espèces de grésillements qui durent les 10 minutes restantes. Allez savoir pourquoi. A noter aussi que ce deuxième album voit apparaitre à nouveau des collaborations du rappeur Patrick Tilon alias "Silver Surfering Rudeboy" du groupe néerlandais Urban Dance Squad, qui était déjà présent dans le premier opus notamment sur "Underachievers", "Saturday Teenage Kick", "Billy Club" et "Melange". Cette fois, il est de la partie dans "Action Radius", "Zerotonine", "Legion", "Next Plateau" ainsi que "Love Like Razorblade". Usant plus du vrai chant que du rap contrairement à Saturday Teenage Kick, sa voix s'accorde parfaitement avec la musique. En bref, un album taillé pour les rave parties à la manière de The Prodigy (dont les sonorités de Junkie XL sont assez similaires), un peu moins brut que l'album précédent, et qui change des "meilleurs sons dancefloor" qu'on nous rabâche aujourd'hui. Au passage ignorez l'avis à 2 étoiles sans aucun intérêt publié à propos de ce CD vraiment sous-estimé. Pour conclure, je n'hésiterais pas à dire que c'est un album à se procurer absolument tant qu'il en reste au cas où vous aimeriez le genre car il devient de plus en plus rare (donc cher) et donne un aperçu du niveau musical extrêmement riche qui régnait dans les années 90... et même avant, et ça ça n'a pas de prix !