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Garden of Eden
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商品の説明
ECM 1917 9876027; ECM RECORDS - Germania;
登録情報
- メーカーにより製造中止になりました : いいえ
- 製品サイズ : 12.7 x 14.61 x 1.27 cm; 102.06 g
- メーカー : Ecm Records
- EAN : 0602498760277
- 製造元リファレンス : unknown
- オリジナル盤発売日 : 2006
- SPARSコード : DDD
- レーベル : Ecm Records
- ASIN : B000CQQGZU
- 原産国 : ドイツ
- ディスク枚数 : 1
- Amazon 売れ筋ランキング: - 246,706位ミュージック (ミュージックの売れ筋ランキングを見る)
- カスタマーレビュー:
カスタマーレビュー
星5つ中4.7つ
5つのうち4.7つ
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他の国からのトップレビュー
Devedavi
5つ星のうち5.0
Simply beautiful recording
2021年1月5日に英国でレビュー済みAmazonで購入
Absolutely beautiful album. Featuring a mix of original compositions and classic jazz, the unusual line up (three guitars, two saxes, electric bass and drums) plays sublimely throughout. ECM's usual sonic excellence is outstanding.
freddiefreejazz
5つ星のうち5.0
du plaisir de goûter au fruit défendu...
2014年12月24日にフランスでレビュー済みAmazonで購入
Il est toujours bon de ressortir ces bonnes vieilles galettes que l'on a parfois négligées ou délaissées, un peu trop vite, sans y prendre garde... Ce soir, c'est donc l'occasion de réécouter ce magnifique Garden of Eden gravé en novembre 2004 et publié sous le label ECM en 2006. Dix ans déjà ! Et toujours cette joie de rentrer dans l'univers de ce batteur de jazz incomparable qui a tant révolutionné le jeu, la conception et la place de la batterie ! D’une finesse et d’une coloration inoubliable, les mouvements de Paul Motian étaient vraiment uniques. Un drive et une sonorité in-com-pa-ra-ble ! Le besoin irrépressible d'y revenir va donc de soi, surtout après avoir écouté le dernier album de Florent Nisse que je recommande (
Aux Mages
paru cette année sous un tout nouveau label, NoMe est un hommage au batteur). A l'époque de l’enregistrement de Garden of Eden,
Paul Motian
faisait déjà figure de vétéran. N'était-il pas l'un des derniers monstres sacrés, l'un des plus grands musiciens du vingtième et de ce vingt-et-unième siècle naissant ? Ne quittant quasiment plus son New-York natal, Motian s'entourait de jeunes musiciens propices à jouer et à comprendre son art, et prêts à en découdre avec le jazz et ses ramifications célestes. Un jazz qui d'ailleurs ne dira jamais son nom. Car ici, la musique s’inscrit davantage dans ce qu’on appelle « une musique de chambre ». Une musique de chambre de haute tenue... Au final, « Garden of Eden » est l'illustration d'un « jazz » qui se rit de toute catégorisation.
Le temps file et Paul Motian nous a quittés il y a déjà quatre ans ! C’était un jour gris de novembre 2011… Sa disparition laisse encore aujourd'hui un vide immense (1). Irréversible. D'une douleur indicible. Difficile de s’en remettre après ça… Heureusement restent les disques, me direz-vous, comme celui-ci, que l'on goûtera jusqu'à la lie. La galette que voici porte si bien son titre: le jardin d'Eden ! Un avant-goût du Paradis ? Un jardin en tout cas où l'on ne saurait se prélasser. Plutôt un lieu où l'on y cueillerait les plus beaux fruits, quitte à croquer la pomme défendue... Si on connaît un peu le parcours du batteur, on ne sera pas étonné de retrouver à ses côtés trois guitaristes dont Jakob Bro (présent dans le dernier disque de Florent Nisse) puisque c'est sur la guitare que Paul Motian s’exerça quand il était gamin. La guitare fut en effet son premier instrument… Plus tard, après sa séparation définitive d'avec Bill Evans (juste après le fameux concert au Shelly’s Manne Hole de 1963), le batteur allait expérimenter un jazz beaucoup ouvert, beaucoup plus expérimental aussi, dans plusieurs configurations, notamment après son passage chez Keith Jarrett (1968-1977). Et c'est avec cet instrument, la guitare, qu’il formera bon nombre de ses propres collectifs, conférant à son art toute l'ampleur de son immense talent. C'est aux côtés de cet instrument, disait-il, qu'il se sentait le plus à l'aise. Ainsi son trio légendaire avec le guitariste Bill Frisell et le saxophoniste Joe Lovano, et tous les autres (2)…
Steve Cardenas, Jakob Bro et Ben Monder forment ce triumvirat qui nous fait savourer le velouté et la fraîcheur de ces fruits exotiques. Dans ce jardin d’Eden, on notera également la présence de deux saxophonistes, et non des moindres s’il vous plaît : Tony Malaby et Chris Cheek (tous deux au ténor). Le contrebassiste Jerome Harris apporte lui aussi son soutien à ce collectif de rêve. Résultat ? Un disque fleuve, une musique tour à tour bouillonnante et paisible et remarquablement bien composé (les compositions du batteur comme « Etude » et « Manhattan Melodrama » s’affranchissent de constructions trop établies. Et quand les musiciens laissent libre cours à leurs improvisations, c’est d’une liberté si bien organisée que l’on s’en mord les lèvres… Un disque d'une rare intimité donc, car c’était déjà presque un testament pour Motian, qui signait avec ce « Garden of Eden » l’un de ses plus beaux manifestes. Le répertoire mijoté aux petits oignons alterne avec délices, compositions originales et standards savoureusement interprétés (le plaisir de retrouver « Pithecanthropus Erectus » et « Goodbye Pork Pie Hat », deux pièces signées Charles Mingus et interprétées avec une extrême sensualité, un « Evidence » magnifique composé par le génial Thelonious Monk et enfin un Cheryl que n’aurait pas boudé son créateur, Charlie Parker ). Une musique dont l'épanouissement harmonique et mélodique raconte le parcours de ce géant de Paul Motian (écoutez son solo d’anthologie sur « Evidence »).
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(1) Les sonorités du collectif sont belles et toujours aussi colorées, mais comment, là encore, en parler sans tomber dans l'inutile et le barbant ? Surtout quand d'autres l'ont déjà fait (je songe à la très belle chronique de Dale Cooper). On se sent petit quand on écoute une galette pareille. Petit, parce que franchement, à part écouter, que puis-je vraiment dire ? Faire de la poésie, de la philosophie? Impossible. Non, seulement écouter. Et quand on n'est pas musicien, se taire ? Mais l'on sait, l'on sait de façon irrémédiable que ce disque et cet Artiste sont à jamais inscrits dans nos cœurs. Mieux que ne pourrait l’être un tatouage sans doute….
(2) On ne manquera pas d’explorer la discographie du batteur avec Bill Frisell et Joe Lovano (ses disques sous le label Soul Note et ECM). Ses disques dans le format du quintette et autres formations à géométries variables, incluant deux guitares, voire trois, comme c’est le cas ici, sont par ailleurs dignes d’intérêt... A bon entendeur et surtout en vous souhaitant une heureuse dégustation. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout.
Le temps file et Paul Motian nous a quittés il y a déjà quatre ans ! C’était un jour gris de novembre 2011… Sa disparition laisse encore aujourd'hui un vide immense (1). Irréversible. D'une douleur indicible. Difficile de s’en remettre après ça… Heureusement restent les disques, me direz-vous, comme celui-ci, que l'on goûtera jusqu'à la lie. La galette que voici porte si bien son titre: le jardin d'Eden ! Un avant-goût du Paradis ? Un jardin en tout cas où l'on ne saurait se prélasser. Plutôt un lieu où l'on y cueillerait les plus beaux fruits, quitte à croquer la pomme défendue... Si on connaît un peu le parcours du batteur, on ne sera pas étonné de retrouver à ses côtés trois guitaristes dont Jakob Bro (présent dans le dernier disque de Florent Nisse) puisque c'est sur la guitare que Paul Motian s’exerça quand il était gamin. La guitare fut en effet son premier instrument… Plus tard, après sa séparation définitive d'avec Bill Evans (juste après le fameux concert au Shelly’s Manne Hole de 1963), le batteur allait expérimenter un jazz beaucoup ouvert, beaucoup plus expérimental aussi, dans plusieurs configurations, notamment après son passage chez Keith Jarrett (1968-1977). Et c'est avec cet instrument, la guitare, qu’il formera bon nombre de ses propres collectifs, conférant à son art toute l'ampleur de son immense talent. C'est aux côtés de cet instrument, disait-il, qu'il se sentait le plus à l'aise. Ainsi son trio légendaire avec le guitariste Bill Frisell et le saxophoniste Joe Lovano, et tous les autres (2)…
Steve Cardenas, Jakob Bro et Ben Monder forment ce triumvirat qui nous fait savourer le velouté et la fraîcheur de ces fruits exotiques. Dans ce jardin d’Eden, on notera également la présence de deux saxophonistes, et non des moindres s’il vous plaît : Tony Malaby et Chris Cheek (tous deux au ténor). Le contrebassiste Jerome Harris apporte lui aussi son soutien à ce collectif de rêve. Résultat ? Un disque fleuve, une musique tour à tour bouillonnante et paisible et remarquablement bien composé (les compositions du batteur comme « Etude » et « Manhattan Melodrama » s’affranchissent de constructions trop établies. Et quand les musiciens laissent libre cours à leurs improvisations, c’est d’une liberté si bien organisée que l’on s’en mord les lèvres… Un disque d'une rare intimité donc, car c’était déjà presque un testament pour Motian, qui signait avec ce « Garden of Eden » l’un de ses plus beaux manifestes. Le répertoire mijoté aux petits oignons alterne avec délices, compositions originales et standards savoureusement interprétés (le plaisir de retrouver « Pithecanthropus Erectus » et « Goodbye Pork Pie Hat », deux pièces signées Charles Mingus et interprétées avec une extrême sensualité, un « Evidence » magnifique composé par le génial Thelonious Monk et enfin un Cheryl que n’aurait pas boudé son créateur, Charlie Parker ). Une musique dont l'épanouissement harmonique et mélodique raconte le parcours de ce géant de Paul Motian (écoutez son solo d’anthologie sur « Evidence »).
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(1) Les sonorités du collectif sont belles et toujours aussi colorées, mais comment, là encore, en parler sans tomber dans l'inutile et le barbant ? Surtout quand d'autres l'ont déjà fait (je songe à la très belle chronique de Dale Cooper). On se sent petit quand on écoute une galette pareille. Petit, parce que franchement, à part écouter, que puis-je vraiment dire ? Faire de la poésie, de la philosophie? Impossible. Non, seulement écouter. Et quand on n'est pas musicien, se taire ? Mais l'on sait, l'on sait de façon irrémédiable que ce disque et cet Artiste sont à jamais inscrits dans nos cœurs. Mieux que ne pourrait l’être un tatouage sans doute….
(2) On ne manquera pas d’explorer la discographie du batteur avec Bill Frisell et Joe Lovano (ses disques sous le label Soul Note et ECM). Ses disques dans le format du quintette et autres formations à géométries variables, incluant deux guitares, voire trois, comme c’est le cas ici, sont par ailleurs dignes d’intérêt... A bon entendeur et surtout en vous souhaitant une heureuse dégustation. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout.
William Wood
5つ星のうち5.0
Best of Motian
2006年6月6日にアメリカ合衆国でレビュー済みAmazonで購入
Everything you go to Paul Motian for is here: his sober thoughtfulness, his pessimism, his lyricism and insistence on beauty in the midst of grief. As usual, there is the emphasis on song, sometimes keening, sometimes crooning, sometimes kidding, and, as usual, the shadow of Ornette Coleman smiling in the background. I have a lot of Motian, but I can safely say this is the first collection of his where I am not finding myself skipping over any tracks. All are equally strong. A particularly delicious surprise is the discovery of Jerome Kern's "Bill" in the middle of the mix, harking back to the days of the "On Broadway" albums with Joe Lovano, Bill Frisell and Charlie Haden, that introduced the saxophone/electric guitar sound that subsequently expanded into the Electric BeBop Band, and now the two-saxophone-three-guitar manifestation on "Garden of Eden". This is music of the highest order.
S. Alberto
5つ星のうち5.0
J'ai réçu un bon conseil....
2013年5月15日にフランスでレビュー済みAmazonで購入
...et je veux le partager.
Conseillé par un ami musicien.
Si vous aimez Motian, c'est un CD très important dans son oeuvre.
Conseillé par un ami musicien.
Si vous aimez Motian, c'est un CD très important dans son oeuvre.
Biking To Work
5つ星のうち5.0
At pace with a reflection.
2006年4月26日にアメリカ合衆国でレビュー済みAmazonで購入
Listening to this disc, I fall into it so wonderfully that my thougts start to fade away and merge with the music--or maybe it is that the music influences my thoughts. Either way, I almost forgot that there was music playing, and, only at certain points began to "hear" it as something separate from my existence. It is dreamy and surreal, but also precise and detailed. You can forget about listening to a particular instrument or trying to deconstruct the music. It is a very good disc because of its unity, and I would recommend buying it if you can.