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Gotterdammerung

Theo Adam (Baritone), Thomas Hampson (Baritone), Richard Wagner (作曲), 形式: CD

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CD, 2015/9/1

"もう一度試してください。"

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￥2,430

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CD, 2006/1/10

"もう一度試してください。"

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￥3,900

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CD, 2018/11/9

"もう一度試してください。"

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"もう一度試してください。"

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CD, 2005/8/23

"もう一度試してください。"

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CD, 2006/6/22

"もう一度試してください。"

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CD, 2005/10/25

"もう一度試してください。"

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曲目リスト

ディスク： 1

1	Vorspiel (Orchester)
2	Welch Licht leuchtet dort?
3	Dämmert der Tag? (Die drei Nornen)
4	Tagesgrauen (Orchester)
5	Zu neuen Taten, teurer Helde (Brünnhilde)
6	Mehr gabst du, Wunderfrau
7	O heilige Götter (Siegfried/Brünnhilde)
8	Siegfrieds Rheinfahrt (Orchester)
9	Nun hör, Hagen (Gunther/Hagen)
10	Ein Weib weiss ich (Hagen/Gunther/Gutrune)
11	Vom Rhein her tönt das Horn (Gunther/Hagen/Siegfried)
12	Wär ist Gibichs Sohn? (Siegfried/Gunther/Hagen)
13	Begrüsse froh, o Held (Gunther/Siegfried/Hagen/Gutrune)
14	Vergäss' ich alles (Siegfried)

ディスク： 2

1	Gutrune (Gunther/Siegfried)
2	Blühenden Lebens is bendes Blut (Siegfried/Gunther)
3	Was nahmst du am Eide nicht teil? (Siegfried/Hagen/Gunther/Gutrune)
4	Hier sitz ich zur Wacht (Hagen)
5	Algewohntes Geräusch (Brünnhilde/Waltraute)
6	Höre mit Sinn, was ich sage! (Waltraute)
7	Welch bange Träume Mären (Brünnhilde/Waltraute)
8	Blitzend Gewölk (Brünnhilde)
9	Brünnhild'! Ein Freier kam
10	Jetzt bist du mein (Seigfried/Brünnhilde)

ディスク： 3

1	Vorspiel (Orchester)
2	Schläfst du, Hagen, mein Sohn? (Alberich/Hagen)
3	Hoiho, Hagen! Müder Mann! (Siegfried/Hagen/Gutrune)
4	Hoiho! Hoihohoho!
5	Rüstet euch wohl
6	Gross Glück und Heil (Hagen/Die Mannen)
7	Heil dir, Gunther! (Die Mannen)
8	Brünnhild', die hehrste Frau (Gunther/Die Mannen)
9	Gegrüsst sei, teurer Held (Gunther/Die Mannen/Siegfried/Brünnhilde/Hagen)
10	Einen Ring sah ich an deiner Hand (Brünnhilde/Siegfried/Gunther/Hagen)
11	Betrug! Betrug! (Brünnhilde/Gutrune/Die Mannen/Die Frauen/Gunther/Siegfried)
12	Helle Wehr! Heilige Waffe! (Siegfried/Brünnhilde/Die Mannen)
13	Glaub, mer zürnt es mich als dich (Siegfried)
14	Welches Unholds List (Brünnhilde)
15	Vertraue mir, betrogne Frau! (Hagen/Brünnhilde)
16	Auf, Gunther, elder Gibichung! (Hagen/Gunther/Brünnhilde)
17	So soll es sein! (Hagen/Gunther/Brünnhilde)
18	Vorspiel (Orchester)
19	Frau Sonne sendet lichte Strahien (Die drei Rheintöchter: Woglinde/Wellgunde/Flosshilde)
20	Ein Albe führte mich irr (Siegfried)

ディスク： 4

1	Siegfried! (Rheintöchter/Siegfried)
2	Ein goldener Ring glänzt dir am Finger! (Wellgunde/Rheintöchter/Siegfried)
3	Behalt ihn, Held (Flosshilde/Rheintöchter/Siegfried)
4	Weilala leia (Rheintöchter/Siegfried)
5	Hoiho! (Hagen/Die Mannen/Siegfried/Gunther)
6	Trink, Gunther, trink! (Siegfried/Gunther/Hagen)
7	Mime hiess ein mürrischer Zwerg (Siegfried/Hagen/Die Mannen)
8	In Leid zu dem Wipfel (Siegfried/Hagen)
9	Was hör' ich? (Gunther/Hagen/Die Mannen)
10	Brünnhilde, heilige Brautl (Siegfried)
11	Trauermusik (Orchester)
12	War das sein Horn? (Gutrune)
13	Hoiho! Hoiho! (Hagen/Gutrune/Gunther)
14	Siegfried! Siegfried erschlagen! (Gutrune/Gunther/Hagen)
15	Schweigt eures Jammers (Brünnhilde/Gutrune)
16	Starke Scheite schichtet mir dort (Brünnhilde)
17	Wie Sonne lauter strahlt mir sein Licht (Brünnhilde)
18	O ihr, der Eide heilige Hüter! (Brünnhilde)
19	Mein Erbe nun nehm ich zu eigen (Brünnhilde)
20	Fliegt heim, ihr Raben! (Brünnhilde)
21	Grane, mein Ross, sei mir gegrüsst! (Brünnhilde)
22	Zurück vom Ring! (Hagen)

登録情報

メーカーにより製造中止になりました ‏ : ‎ はい
梱包サイズ ‏ : ‎ 13.2 x 12.8 x 1.8 cm; 174.07 g
メーカー ‏ : ‎ EMI Classics
EAN ‏ : ‎ 0094635872422
製造元リファレンス ‏ : ‎ 3 3 00358724
レーベル ‏ : ‎ EMI Classics
ASIN ‏ : ‎ B000GH2WNA
ディスク枚数 ‏ : ‎ 1

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Loïc Mignon

Svanholm, Stiedry and Sutherland 1954 Covent Garden

2020年1月1日に英国でレビュー済み

Amazonで購入

Same quality and interest than Siegfried, see my commentary. Acte 3 complete till Siegried's death, with 3 beautifuls Rhinemaidens, virile Blood Brotherhood scene with Uhde, and a splendid Dawn duet with a rare Margaret Harshaw, in great voice (what a high C !) as Svanholm. Very good ssound.

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Pitou 1777

En plein cœur du Nouveau Bayreuth

2016年8月20日にフランスでレビュー済み

Amazonで購入

5 ans après la reprise du festival, le pli est pris, avec des chanteurs qui vont en être les piliers, reprenant leurs rôles pendant des années, sous la direction de plusieurs chefs. Nous avons à présent la quasi-totalité de ces années.
La réputation de « Kna » est surtout fondée sur sa série de Parsifal, de 1951 à 1964. Mais cet enregistrement rappelle qu’il fut le vrai pilier du « Nouveau Bayreuth », les autres « K » (Karajan, Krauss, Keilberth) ne faisant souvent que passer. On a rapporté qu’il n’était pas fana des répétitions sans fin, du genre « vous connaissez la partition, moi aussi, alors à ce soir messieurs ! ». Est-ce une légende de plus ? En tout cas, sa direction, certes assez lente, n’est pas pesante.
Dans le numéro spécial de l’avant-Scène Opéra dédié au festival de Bayreuth, le musicologue Pierre Flinois rappelle ce qu’écrivait Romain Rolland « Mme X.. m’a raconté qu’aux fêtes de 1876, tandis qu’elle suivait attentivement dans sa lorgnette une scène du Ring, deux mains s’appuyèrent sur ses yeux, et la voix de Wagner lui dit, impatientée : « Ne regardez donc pas tant ! Ecoutez ! » … Si complète est la musique, si puissante est sa prise sur l’imagination, qu’elle ne laisse rien à désirer ; et ce qu’elle suggère à l’esprit est infiniment plus riche que ce que les yeux peuvent voir ». Cela explique que toute écoute « audio » de la Tétralogie est toujours un beau et grand voyage, même si l’on n’a pas l’appui visuel d’un DVD. Et ce voyage peut être fait dans le temps : les enregistrements anciens, s’ils sont bons techniquement, comme c’est le cas ici, peuvent être aussi passionnants que de plus récents, surtout lorsqu’ils mettent en valeur de grandes voix, sous la direction d’un chef respecté.
Pour toutes ces soirées, la qualité sonore de ce repiquage est exceptionnelle, en tout cas pour les voix, car l’orchestre est plus en sourdine (c’est ce que voulait Wagner, en enterrant la fosse d’orchestre dans son « abîme mystique »).
L’or du rhin : Hotter y est déjà la Wotan du siècle, mais les dieux qui l’accompagnent sont moyens, le Loge de Suthaus est celui d’un ténor puissant, mais il lui manque cet aspect cauteleux que des chanteurs moins vaillants ont su nous donner. Neidlinger, qui fut pour Alberich ce qu’Hotter fut pour Wotan, et Greindl, en Fasolt, sont deux atouts majeurs de cette version. Tous les autres chanteurs, aux rôles plus mineurs, sont de qualité, rien à redire.
La Walkyrie : Windgassen était déjà irremplaçable en Siegmund, ténor généreux et puissant, bien que pour ma part j’ai toujours été un peu gêné par son timbre de voix, nous avons eu plus lumineux. Sa sœur et épouse Sieglinde est joliment chantée par Gré Brouwenstijn, chanteuse hollandaise au terrible destin. Le cornu de l’histoire est l’immense Greindl, ses courtes interventions sont puissantes et monolithiques. Comme dans L’Or du Rhin, Von Milinkovic n’est pas une Fricka inoubliable. On comprend que Wotan-Hotter préfère avoir de longs moments avec sa fille préférée, car Astrid Varnay, qui saura être aussi une terrible femme dans d’autres ouvrages, est ici une Walkyrie juvénile, à la voix puissante mais qui parait légère.
Siegfried : En fait, on se croirait dans la Belle au bois dormant, car on assiste à trois réveils, qui ne sont pas sans risque pour qui les commet : celui du dragon, celui d’Erda, celui de l’ex-Walkyrie. Chaque écoute de la Tétralogie me confirme dans mon opinion que Siegfried en est « le maillon faible », malgré quelques pages absolument superbes (la forge, les murmures de la forêt, l’éveil de Brunehilde, le duo final…). Le premier acte, notamment, se traîne en longueur pour pas grand-chose : sur scène ou en DVD, il faut un Mime excellent comédien, à l’écoute d’un disque, il faut des timbres de voix très différents entre les 2 ténors. Ce n’est pas le cas ici, et, comme je ne parle pas allemand, j’ai du mal parfois à savoir qui chante du beau blond ou du gnome. J’ai d’ailleurs le même problème entre les deux albes du second acte, tant Neidlinger et Hotter avaient des voix noires et puissantes tous les deux : je pense que Neidlinger, spécialisé en Alberich, aurait pu être un bon Wotan. Malgré mes réserves sur l’ouvrage lui-même, force est de reconnaître que Wagner était bien servi en cette soirée. Les spectateurs ont dû trouver que Siegfried ressemblait fortement à son père Siegmung, vu que Windgassen réussissait l’exploit d’enchaîner les 2 rôles en 2 jours : 14 et 15 août 1956, il y a pile 60 ans !
Le Crépuscule : la première chose qui frappe, quand on regarde la distribution, est qu’Astrid Varnay chantait la troisième norne et Brunnhilde (ce ne devait pas être facile puisque les 2 scènes du prologue s’enchainent. Economies de bout de chandelle ? Défection d’une chanteuse au dernier moment ? Caprice de diva ? De même, Jean Madeira, très en voix, cumule la première norne et Waltraute, Maria von Ilosvay est deuxième norne et l’une des filles du Rhin, ce qui est plus fréquent.
Windgassen, increvable, était encore Siegfried le 17 août, sans que sa voix paraisse fatiguée. Le Hagen de Greindl est formidable, ce grand artiste pouvait être le bon roi (dans Lohengrin, dans Tristan) ou la bête (Hunding, Hagen). La musique de l’intervention d’Alberich (« Dors-tu, Hagen, mon fils ? ») est vraiment impressionnante, elle est presque moderne, style Pelleas. Le Gunther d’Hermann Uhde (un grand Klingsor) tient son rang, il n’est pas le fadasse habituel. Enfin, Varnay, autre soprano wagnérienne suédoise (après les orgues de Flagstadt et en même temps que l’acier de Nilsson), nous enchaîne des notes aigües, acérées, puissantes, mais cependant humaines, cette ex-Walkyrie devenue simple femme sait se faire respecter des dieux (sa réponse à Waltraute) et des hommes, fussent-ils des chefs (Gunhter, sa sœur). Au total, quelle équipe !
Cette production de la firme Andromedia ne fournit aucun commentaire ni résumé. Les 4 boitiers plastiques prennent beaucoup de place, mais ce sont là petits inconvénients au regard d’une captation excellente, je le répète, au plan sonore, de grands artistes, ce qui mérite les 5 étoiles.
Comme la Révolution française, la Tétralogie « est un tout », je ne dispache pas ce commentaire et le recopie en entier et à l’identique sur les 4 journées.

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Peter Dietrich

Without question the present Edition Of Wagner's Gotterdammerung from La Scala, has the best sound.

2013年8月3日にアメリカ合衆国でレビュー済み

Amazonで購入

Before I purchased any records in my life, I was very fortunate to attend the performance of Wagner's Die Walkure at La Scala Milan on March 9, 1950. It remained one of the most memorable and exciting Events in my life. At that time I never dreamed that some day in the future I will be an owner of the complete Ring as recorded in 1950.Actually the present Edition is my fourth Set of the Ring des Nibelungen from La Scala. 1 . I purchased it first on an Italian Label Fonit Cetra CPE 101 on 18 LP 's in 1984. 2 . Edition on Music & Arts Label CD- 914 12 CD's. 3 . Gebhardt Edition JGCD 0018-12 2004 . 4 . The present Edition on Archipel. Since the Archipel Edition has issued each opera separately, I am reviewing only Gotterdammerung. Each Edition I purchased was in better and better sound and the present One is without question the beat thus far. First and most important the sound is warmer, cleaner, more natural, revealing all the details better than any previous recording I have heard so far. In addition it has the tremendous sence of presence, comparable to the Audite Edition of the Furtwangler Symphonic Works and to the Hybrid SACD Edition of Symphonies issued on TAHRA Label. The LA Scala Ring is certainty one of the glories in recorded output of EMI, For it preserves the only available Ring Cycle with Kirsten Flagstadt as Brunnhilde .
John Reardon in his book The Furtwangler Record writes the following information: " Despite the omission of crucial
Top Cs, She is in superb form here, more giving and attuned to the drama than when she recorded Isolde with Furtwangler for EMI two years later." If you will listen to the duet " Zu neuen Taten, teurer Helde" with the famous
Tenor Max Lorenz as Siegfried and to Brunnhilde final solo " Starke Scheite schichtet Mir dort" you will hear a voice solid as a rock and very beautiful. In other roles Elisabeth Hongen is a penetrating Erda , Ludwig Weber, as Hagen ,
Hilde Konetzni as Getrune, Josef Herrmann as Gunther and Alois Pernerstorfer as Alberich.All the singers are excellent in their roles and well known from other recordings.I don 't want to take anything away from other excellent conductors who recorded the Ring Cycle, but none of them could penetrate so deeply, and with the profound knowledge and experience and understanding of the score as Furtwangler does in this and RAI recordings. The result ,is all magic to which one will return and enjoy it over and over again.

as Gunther and Alois Pernerstorfer as Alberich. All these singers are excellent in their roles, and are well known from other recordings. I don 't want to take anything away from other
Excellent conductors who recorded the Ring Cycle,But none of them could penetrate so deeply, and with the profound knowledge ,experience and understanding of the score as Furtwangler does in this And the RAI recordings.The result is all magic, to which one will refer and enjoy it over and over again.

I don't want to take anything away from other excellent conductors who recorded the Ring Cycle, but none of them

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Mike Leone

A welcome return

2006年5月4日にアメリカ合衆国でレビュー済み

Amazonで購入

It's hard to imagine, with the plethora of complete recorded Rings on the market nowadays, that there was a long time when the complete operas were not represented on disc. During the 78-rpm era, there were separate volumes dedicated to each of the three acts of Die Walkure, and then Furtwangler recorded Walkure complete on LP in 1954. This Gotterdammerung, derived from a broadcast on Norwegian Radio, was the second of the four Ring operas to appear on LP, probably in 1956, followed by Das Rheingold in 1959 and Siegfried in 1963. While critics gave a begrudging "better-than-nothing" acceptance to this recording, it was generally not well received.

I was familiar with the story of the Ring, having read the wonderful children's books that the Metropolitan Opera put out during the 1930s telling the stories of the operas, long before I heard any of the music. So at the age of 15 or so I was thrilled to encounter this recording on LP at the downtown library. I checked it out and followed the music in a piano-vocal score. It was my first time to actually hear any of the Ring, other than a couple of the orchestral excerpts, and I loved it. In 1968 I finally found a new copy of this long-out-of-print recording that I bought as soon as I could get the $24.00 together for it. Needless to say, this recording didn't stay in the catalog long after the Nilsson/Solti recording was issued in 1964, if indeed it lasted that long. Decca/London finally reissued all the excerpts involving Flagstad on a two-disc set on Richmond; the complete recording has been in limbo for some time, until now.

Of course, the main reason for hearing and acquiring this recording is to hear Kirsten Flagstad's final recorded thoughts about her monumental Gotterdammerung Brunnhilde. Except for a little occasional roughness at the top (she dodges the high C at the end of the dawn duet), she is in magnificent form throughout. It is not surprising that Decca/London originally offered her the role of Brunnhilde in their projected complete Ring cycle under Solti. Svanholm has always been one of my favorite Wagnerian tenors. Even though it was also getting to be fairly late in the day for him, I've never heard anybody sing better the little coloratura phrase "meinem frohen Mute" in Act II. While I'm very grateful that these two important Wagnerians, in the twilights of their respective careers, took part in the Rheingold portion of the historic Solti Ring, this recording presents them to very good advantage in roles for which they were better known.

The rest of the singers are Norwegians, like Flagstad (Svanholm was Swedish). The three Gibichungs are all quite good. Ingrid Bjoner, who would go on to have a major career, sings a beautifully feminine Gutrune, and Egil Nordsjo is a properly evil Hagen. Waldemar Johnsen came in for a lot of criticism for his weak Gunther although I have always found him to possess just the right quality for this character who is duped and ultimately killed by Hagen. Among the remaining characters, all of whom sing well, the Waltraute of Eva Gustavson, best known as Amneris in Toscanini's Aida, and the Second Norn and Wellgunde of Karen Marie Flagstad, presumably Kirsten's sister--there is certainly a similarity in their voices--are worth pointing out.

I have always enjoyed Oivin Fjeldstad's conducting of the opera, even if he isn't the Wagner specialist that Knappertsbusch, Solti, Bohm and others are. The recorded sound on the CDs is much more than merely listenable, even if it doesn't quite capture the unique quality of the LPs. One important caveat is that the part of the interlude between the two scenes of Act One known as Hagen's Watch has been omitted. This section was not included on the original radio broadcast; similarly, the Norn and Alberich scenes were omitted. Decca managed to record the two vocal scenes at some make-up sessions, and they ran out of time before they could record Hagen's Watch as well. I find this omission less bothersome than others do.

The set is completed with Flagstad singing excerpts from Tristan und Isolde from concerts in 1950 and 1952. She is in absolutely stunning voice in these recordings, and anybody who believes she didn't sing her own Bs in the Furtwangler recording of the opera would benefit from hearing these performances.

The remastering is good (the LP lead-in grooves are very audible at the beginning of the first disc), although I find the price a bit high considering the many commercial reissues from this period that are much more within reach. I hope that Naxos decides to tackle this recording one day.

Because of the missing Hagen's Watch, the somewhat dated sound and the somewhat provincial character of the still-enjoyable supporting cast, I can't recommend this Gotterdammerung, much as I love it, as the only recorded version for a collection. The price stands in the way of it being even a supplemental version. Nevertheless, for those who don't mind spending the money or looking around for a better bargain, this recording gives a lot of pleasure. It certainly given such to me over the years, and I'm glad to see it finally back in circulation. And of course, price and everything else notwithstanding, it is a must for fans of Flagstad and Svanholm.

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Gotterdammerung

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