プレステージ コレクターズ・エディション [DVD]
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フォーマット | 色, 吹き替え, 字幕付き, ドルビー, ワイドスクリーン, DTS Stereo |
コントリビュータ | ヒュー・ジャックマン, クリスチャン・ベイル, パイパー・ペラーボ, アンディ・サーキス, スカーレット・ヨハンソン, クリストファー・ノーラン, デヴィッド・ボウイ, マイケル・ケイン |
言語 | 英語, 日本語 |
稼働時間 | 2 時間 35 分 |
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メーカーによる説明
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カスタマーレビュー |
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価格 | ¥550¥550 | ¥945¥945 | ¥1,632¥1,632 | ¥1,610¥1,610 | — | — |
製品仕様 | DVD | DVD | Blu-ray | DVD | Blu-ray | DVD |
発売日 | 2009/6/26 | 2014/12/2 | 2012/7/3 | 2008/1/1 | 2008/1/1 | 2008/1/1 |
商品の説明
商品紹介
すべてのシーンに罠がある・・・『バットマン ビギンズ』の監督が仕掛ける世紀の超一級サスペンス・アクション!
<ストーリー>
2人の天才マジシャン、アンジャー(ヒュー・ジャックマン)とボーデン(クリスチャン・ベール)はライバルとしてしのぎを削りあう2人だったが、ある舞台でのマジック中、アンジャーが水槽からの脱出に失敗し、ボーデンの目の前で溺死する。翌日、ボーデンは殺人の罪で逮捕され、死刑を宣告される。ボーデンはそこに恐るべきトリックの存在を感じる。これはアンジャーが仕掛けた史上最大のイリュージョンではないのか-。やがて明らかになる驚愕の真実とは?
<商品仕様>
【DISC1】
本編130分/片面・2層/カラー/16:9LB(スコープサイズ)
字幕: 1日本語 2日本語吹替用
音声: 1英語(5.1chサラウンド) 2英語DTS(5.1chサラウンド)3日本語吹替(2.0chサラウンド)
【DISC2】(約25分)
特典映像 ・メイキング映像
・オリジナル予告篇、日本版劇場特報、日本版劇場予告、TVスポット
・キャスト&スタッフ プロフィール(静止画)
Amazonより
舞台上での華麗なマジックを題材にしながら、できあがった映画全体もひとつのトリックになっている…。そんな面白さがある一作。19世紀のロンドンという設定も絶妙で、「人間瞬間移動」「カゴの中の鳥が消える」など、王道ともいえるマジックが披露されるのだが、その「タネ」があまりに単純なのも、レトロな背景とマッチして唸ってしまう。主演のふたり、ヒュー・ジャックマンとクリスチャン・ベールは、ともに古典的な香りを漂わせるのがうまい役者なので、全体の世界観が統一され、観る者にもマジックをかけていくのだ。
おたがいをライバル視するマジシャン同士が、相手のトリックを盗もうとする駆け引きを軸にドラマが進んでいくのだが、その策略や裏切りは、マジック以上にスリリングだ。当時、電気にまつわる発明を繰り返していた実在の人物、ニコラ・テスラ(演じるのはデヴィッド・ボウイ!)の使われ方もうまい。そして、ラスト。一世一代のマジックのタネが明かされるのだが、その大胆さと衝撃に面食らう! ここでも「19世紀の物語」というエクスキューズで妙に納得させられるのだ。マジックは、かのデビッド・カッパーフィールドが監修。マニアックな要素を娯楽作に仕立てた、クリストファー・ノーラン監督の職人的仕事である。(斉藤博昭)
登録情報
- アスペクト比 : 2.35:1
- メーカーにより製造中止になりました : いいえ
- 言語 : 英語, 日本語
- 梱包サイズ : 19.4 x 13.6 x 2 cm; 0.28 g
- EAN : 4571147372139
- 監督 : クリストファー・ノーラン
- メディア形式 : 色, 吹き替え, 字幕付き, ドルビー, ワイドスクリーン, DTS Stereo
- 時間 : 2 時間 35 分
- 発売日 : 2008/1/1
- 出演 : アンディ・サーキス, デヴィッド・ボウイ, パイパー・ペラーボ, ヒュー・ジャックマン, クリスチャン・ベイル
- 字幕: : 日本語
- 言語 : 英語 (Dolby Digital 5.1)
- 販売元 : ギャガ・コミュニケーションズ
- ASIN : B000X98X3O
- ディスク枚数 : 2
- Amazon 売れ筋ランキング: - 49,861位DVD (DVDの売れ筋ランキングを見る)
- - 1,634位外国のミステリー・サスペンス映画
- - 4,446位外国のドラマ映画
- カスタマーレビュー:
-
トップレビュー
上位レビュー、対象国: 日本
レビューのフィルタリング中に問題が発生しました。後でもう一度試してください。
登場人物の心理描写やマジシャンのマジックの舞台裏などがあり
面白いです。
科学者のニコラ・テスラも出てきます。
クリストファー・ノーラン監督の初期の名作です。
『嫉妬論』(光文社新書)では、この映画を紹介しつつ、嫉妬は疲れを知らない。キリスト教の7つの大罪である「憤怒」「大食」ですら、ある程度発散されると落ち着くが、嫉妬だけは違うとある。ほどほどの嫉妬で気が晴れることはないのだ。嫉妬心は激しく燃え上がり、正気を崩す。哲学者の三木清は、「嫉妬は常に多忙である。嫉妬のごとく多忙で、しかも不生産的な情念の存在を私は知らない」とまで言っている。
さらに歴史から学ぶとするると、キリスト教を世界宗教に導いたペテロとパウロの間にあった感情が嫉妬だとすると、それはいい方向に向き、お互いの棲み分けと向上心を高めたとも言える。
いずれにしても嫉妬とは、人間だれでももっているもので、それを向上心と裏腹の関係に自己マネジメントしておかないと、この映画の主人公たちのような結末を迎えてしまう。
鑑賞者に想像させる部分が多く、集中力が必要な作品です
特に最後は、、、。
最初の映画が始まる前のシーンから、少しヒントがあります。
私は最後までこのシーンの意味が分からず、あっそういうことなんだ!と最後に理解しました。
あんまりこれは、こういう事⁉️とか疑わず映画に騙されて見た方が楽しめますよ。
相変わらずのノーラン監督のクオリティー。
酷いのは、【字幕の仕様】。
ちょっとあまりに酷く怒りが収まらないのでここに記す。
日本語字幕のものを購入したのだが、これが何とお粗末なことに、アマプラあるあるの「埋め込み型字幕」なのだ。
いわゆる「ハードサブ」というタイプのもので、映像そのものに字幕が埋め込まれてしまっているため、字幕サイズの変更等が一切できない。
そして、その埋め込まれている字幕サイズがありえない。
普通に考えて、デカすぎる!怒
よくこの字幕サイズで担当部署はGOサインを出したものだ。
PCのモニターで見ても大きく感じるのだが、これを液晶TVで見たらもっと酷い。
字幕がデカすぎて完全に映像の邪魔をしている。
映像作品の中身が入ってこない。
ありえない。返金を要求する。
「映画」と「字幕」を切り離し、互いに好みな調整が可能な仕様(ソフトサブ)が当たり前になっているこの時代に何をやっているんだ?
おそらく担当した管轄はアマゾン日本法人だと思うのだが、物申したい。
障碍者用に付与が義務化されているアメリカ本土の字幕では、当たり前のようにソフトサブになっていて切り離されていると聞いた。
どういう経緯で日本ではこのような現在のお粗末な状態になったのか、ぜひ聞かせてほしい。
直ちに組織として意識改革を行い、これまでにハードサブとして字幕を埋め込んでいた映画作品たちを、早急にソフトサブに修正してください。
全部やるにしてもそんな何年もかからないはずです。
鑑賞する側としても、製作する側としても許せない。
以前この作品をDVD媒体で鑑賞した際には、もっと内容がスムーズに頭に入ってきて素晴らしい作品であることを強く認識できました。
結局、こうやって映画の中身が製作者の意図したように入ってこず、「内容は★5なのにその提供サイドの失態で★1」をつけなければならないような事態になっている。
早急に改善してください。
よろしくお願いいたします。
大規模改善がなされたことが周知されるまで、今後アマプラでは映画の購入はしません。
マイケル・ケインのナレーションで手品の基本3手順が紹介され,映画自体もその手順にしたがって進行する。
物語を発展させていくに当たり,二重構造の叙述トリックが用いられている。
叙述トリックは書籍だからこそ可能なもので,映像化は難しいと思っていたが,なるほどこの手があったかと感心する。
仕掛けを一段ではなく入れ子構造にして,これでもかと見せるやり方は,インセプションでも見れられるノーランの力技。
最後は,複雑な時間軸と断片的な伏線が回収され,映画冒頭のシーン(+α)に戻って輪が閉じる。
現実にはあり得ない大ネタが一つ入ってくるが,それを非現実的と批判するのは野暮というもの。
特殊ルールを設定の上,そのルールのもとでねじれたストーリーや予想外のドラマを見せてくれるのがノーランの魅力だから。
ただ,大道具倉庫の最後の場面は,画面が暗くて,”あれ”がたくさんあるのが良く見えないので,意図が分かりにくいかな。
エネルギー過剰でわかりにくさが残ってしまうのもノーランの個性。
それも含めてノーラン節全開です。
他の国からのトップレビュー
Peut-être parce que c’est le sujet même du film, et qu’il interroge de façon assez aiguë la question du spectacle et du rapport de l’homme de spectacle avec ses spectateurs, le film que je préfère de lui encore aujourd’hui est Le Prestige. Comme tous les films tournant autour de la même question, celui-ci dirige le regard du spectateur et lui montre que, quand bien même il serait prêt à se faire diriger et aller jusqu’à à se faire avoir (avec son consentement), il s’agit qu’il regarde toujours de près – la question inaugurale, ‘are you watching closely?’, de toutes les phrases répétées plusieurs fois dans le film, est évidemment la plus importante.
L’intelligence des frères Nolan – Christopher a écrit plusieurs de ses scénarios avec son frère Jonathan – réside dans le fait qu’ils ont choisi le matériau parfait pour développer ce questionnement : non seulement le monde du spectacle de magie mais aussi ce moment particulier du développement de la représentation spectaculaire, un moment où les spectateurs avaient faim de tels spectacles et s’y rendaient en masse, ce qui rendait obligatoire pour les magiciens d’échapper au déjà-vu et à cet effet de recourir notamment aux progrès des sciences et techniques. Bien sûr, ce matériau vient du roman de Christopher Priest, mais comme l’ont noté nombre de ses admirateurs, Priest a été adapté d’un peu loin par les frères Nolan, et l’on voit bien ce qu’ils ont souhaité privilégier. Cette infidélité de l’adaptation n’empêche en rien son grand intérêt, et elle fait pour moi partie de ce que l’on appelle parfois les « belles infidèles ». Cela dit, j’engage qui cela intéresse à ne surtout pas passer à côté du roman (en français en Folio SF), narrativement autrement plus complexe, plus riche par tout ce dont il se saisit, et qui n’a rien d’une redite.
Alors que le roman agite des questions sans doute plus profondes sur l’identité, le réel et ses illusions, le film est quant à lui donc axé principalement sur celle du rapport de l’œil et de l’esprit au spectaculaire. Cela est sans doute un petit rétrécissement du point de vue, mais outre qu’il est adapté au média et au fait que la matière principale ne soit pas des mots mais des images et des sons, la réussite du film de Nolan me semble sur cet aspect quasi-totale. Comme par la suite dans Inception, les scénaristes et le metteur en scène donnent au spectateur ce qu’il veut – y compris une résolution – tout en en laissant assez en suspens pour le rendre circonspect, et peut-être même le laisser sur ses gardes. De ce point de vue au moins, The Prestige est bien l’art poétique de Nolan, qui donne la clé pour comprendre comment ses machines scénaristiques* sont agencées et à quelles fins, et plus largement comment il conçoit le pouvoir du cinéma.**
Il y a d’autres raisons pour lesquelles on peut préférer The Prestige à d’autres de ses films ultérieurs. Par exemple parce que, bien que prenant très au sérieux le fond de ce qu’il explore, il n’est pas encore contaminé par un esprit de sérieux de plus en plus plombant, qui a fini par culminer dans les aspects les plus sentencieux de Tenet. La dimension ludique du Prestige, qui tient à son sujet mais aussi à la façon qu’ont les frères Nolan d’inclure le jeu avec le spectateur dans leur propre conception du récit, est aussi ce qui le rend particulièrement délectable ; il est sans doute dommage que Nolan semble perdre un peu cela de vue au fil des films. Il est également intéressant de considérer The Prestige sous l’angle de ce que Nolan a demandé à ses acteurs. Christian Bale a beau montrer ici un versant qu’il a beaucoup exploré par ailleurs, plutôt maussade et monolithique, la nature de son personnage fait qu'il fait preuve dans son jeu d'un peu plus de variété qu’ailleurs (et évidemment, pour s'en tenir à Nolan, que dans les Batman). Hugh Jackman est un acteur que je n’ai jamais énormément apprécié, mais il me semble particulièrement adéquat ici. Et même si Scarlett Johansson et Rebecca Hall ont eu plus à jouer ailleurs, elles font particulièrement bien ce qu’elles ont à faire. Pour finir, faut-il ajouter que c’est un plaisir de voir Michael Caine ? Ce n’est certes pas une rareté chez Nolan, qui a depuis fait appel à lui à chaque fois (même dans Dunkerque, même si uniquement vocalement) ; cependant, c’est celui de ses films où Caine a le rôle le plus substantiel, ce qui en fait un point positif supplémentaire à mes yeux.
*En ce qui me concerne, j’aime aussi beaucoup Interstellar, précisément parce que la machinerie scénaristique y est un peu moins rôdée que dans d’autres de ses films et que plus de choses y dépassent (y compris, parfois, maladroitement).
**Nolan n’en fait d’ailleurs pas mystère : le premier supplément s’ouvre sur les propos du metteur en scène, qui explique que l’intention des deux scénaristes était bien, par le biais de la magie, de parler de cet autre art de l’illusion qu’est le cinéma. Il exprime très directement le fait qu’ils souhaitaient que les spectateurs se posent la question de la façon dont le récit est conçu et des effets produits par le film sur eux au cours même de son déroulement. Ajoutons à cela que l’apparition et la disparition sont aussi une des grandes affaires du cinématographe, à l’origine lui aussi art forain un peu sorcier…
EDITION BLU-RAY BELGE STEELBOOK WARNER (2020)
Ce film est déjà sorti dans plusieurs éditions en dvd et en blu-ray (simple ou dans des coffrets), et un blu-ray 4K-UHD a paru en 2018. Pour ma part, j’ai l’édition blu-ray steelbook sorti en 2020 en Belgique. Pour ce qui est du blu-ray, le master et les suppléments sont les mêmes dans toutes les éditions (par exemple la britannique ou l’italienne). Le master est de très bonne qualité : je n’aurais pas dit non à un peu plus de grain pour ma part, mais il n’y a pas lieu de se plaindre de la très bonne définition de l’image. VF et VO, avec des sous-titres en français ou en anglais disponibles notamment, dans toutes les éditions, qu’elles soient en blu-ray simple ou 4K-UHD. .
Vu la quantité assez faible de suppléments, il n’était pas vraiment nécessaire d’inclure un blu-ray supplémentaire à cet effet. Le making-of est assez dense et intéressant pour la petite vingtaine de minutes qu’il dure, mais on pouvait espérer nettement plus. Une galerie de photos (costumes, décors) vient le compléter.