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エクソシスト ディレクターズカット版 [DVD]

4.4 5つ星のうち4.4 9,114個の評価

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フォーマット 色, ドルビー, ワイドスクリーン
コントリビュータ ジェーソン・ミラー, エレン・バースティン, ウィリアム・ピーター・ブラッティ, リンダ・ブレア, ウィリアム・フリードキン, マックス・フォン・シドー
言語 日本語, 英語
稼働時間 2 時間 12 分

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登録情報

  • アスペクト比 ‏ : ‎ 1.78:1
  • 言語 ‏ : ‎ 日本語, 英語
  • 梱包サイズ ‏ : ‎ 18.03 x 13.76 x 1.48 cm; 83.16 g
  • EAN ‏ : ‎ 4988135600370
  • 監督 ‏ : ‎ ウィリアム・フリードキン
  • メディア形式 ‏ : ‎ 色, ドルビー, ワイドスクリーン
  • 時間 ‏ : ‎ 2 時間 12 分
  • 発売日 ‏ : ‎ 2008/7/9
  • 出演 ‏ : ‎ エレン・バースティン, リンダ・ブレア, ジェーソン・ミラー, マックス・フォン・シドー
  • 字幕: ‏ : ‎ 日本語, 英語
  • 言語 ‏ : ‎ 英語 (Dolby Digital 2.0 Surround), 英語 (Dolby Digital 5.1), 日本語 (Dolby Digital 5.1)
  • 販売元 ‏ : ‎ ワーナー・ホーム・ビデオ
  • ASIN ‏ : ‎ B001ALQWW8
  • ディスク枚数 ‏ : ‎ 1
  • カスタマーレビュー:
    4.4 5つ星のうち4.4 9,114個の評価

カスタマーレビュー

星5つ中4.4つ
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上位レビュー、対象国: 日本

2024年5月25日に日本でレビュー済み
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2024年4月5日に日本でレビュー済み
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2024年5月22日に日本でレビュー済み
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2024年5月29日に日本でレビュー済み
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2023年10月14日に日本でレビュー済み
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Trina
5つ星のうち5.0 Exorcist
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Metin Kilin
5つ星のうち5.0 Le chef-d'oeuvre de l'épouvante.
2022年10月11日にフランスでレビュー済み
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Metin Kilin
5つ星のうち5.0 Le chef-d'oeuvre de l'épouvante.
2022年10月11日にフランスでレビュー済み
Mélangeant thriller, épouvante horreur, enquête policière, l'Exorciste est un chef d’œuvre de l'époque à l'ambiance unique en son genre. William Friedkin a compris que l’essence même de ce genre qu’est l’épouvante-horreur ne reposait pas sur l’hémoglobine mais bien sur le malaise de possession saisit à la gorge. La célèbre mélodie de Mike Oldfield est évidemment culte et angoissante. Photographié par Billy Williams est de toute beauté, apportant la touche d'exotisme qui d'emblée rappelle les origines séculaires de la peur du démon. Un plan magnifique opposant sur un fond de coucher de soleil, le père Merrin (Max Von Sydow) à une statue du démon inspirée des gargouilles de Notre-Dame de Paris nous informe du duel à mort qui va suivre. Je pense que la principale force de ce film est son scénario qui a été écrit avec une virtuosité exceptionnelle. Linda Blair a fait frémir toute une génération de cinéphiles avec son rôle de pré-adolescente possédée. Une œuvre d'une réalité quasi documentaire, et on peut s'identifier à travers cette mère de famille dépourvu qui est dans un désespoir total et impuissante face à la transformation de sa fille. Regan, une jeune fille de 13 ans, vit avec sa maman, Chris MacNeil, une actrice qui entre deux tournages tente de concilier vie professionnelle et familiale. Elle découvre que sa fille est victime de troubles du sommeil, d’agitations fréquentes et qu‘elle devient de plus en plus violente envers son entourage. Inquiète, elle consulte des cliniciens, neurologues et autres experts qui procèdent dans un premier temps à deux interventions très douloureuses, et à la fin desquelles une première explication est livrée sans que Chris ne soit rassurée ou convaincue. Dans le même temps l’état de sa fille empire. Désespérée, confrontée à des docteurs qui ne semblent plus la comprendre, elle décide en dernier recours de se tourner vers un exorciste, le père Damien Karras. Friedkin est un génie il arrive à nous transmettre cette angoisse qui monte crescendo jusqu'à son paroxysme et ce film est une pépite intemporelle car il nous montre que le mal est là depuis la nuit des temps qu'il frappe à travers toutes les religions de part de la scène en Irak jusqu'à cette maison paisible à Washington il veut nous montrer que le mal peut s'abattre aux quatres coins du monde. C'est par l'association d'un réalisme austère à un thème fantastique que le réalisateur est parvenu à transformer même les plans les plus neutres en briques du cauchemar, et ainsi à distiller tout au long du récit une terreur sourde et pernicieuse. L’histoire de possession à la base est l’occasion pour lui de mettre en évidence le thème-clé de son univers de cinéaste : la lutte éternelle entre le Bien et le Mal. Littéralement fasciné par cette problématique il développe ici cette idée obsessionnelle en recourant à un filmage lorgnant vers le documentaire pour plus de réalisme voire d’hyperréalisme. Il veut que le spectacle soit le plus crédible et effrayant possible, en prenant le spectateur par les tripes ni plus ni moins. Caméra à l’épaule, lumière naturelle ou éclairage minimaliste, rigueur de la mise en scène, grain de pellicule, etc.…Les effets spéciaux, à l'exception d'un ou deux qui aujourd'hui sont un peu voyants (en particulier les retournements de tête à 360°), sont ainsi très réussis, ce qui est dû en grande partie au fait que, les trucages numériques n'existant pas encore, ils étaient tous réalisés en direct sur le plateau. Le metteur en scène s’en remet à la technique du documentaire qui répond à des exigences souvent économiques auxquelles il se plie. L’efficacité prime, l’efficacité du plan et du montage, avec un choix de narration n’épargnant pas les ellipses mais évitant à tout prix les baratins explicatifs. Il n’y a pas d’à peu près dans l’Exorciste, pas de séquences gratuites : chaque mot, chaque image sont destinés à renvoyer à un élément du récit. L’accent étant mis sur la Possession davantage que sur la Foi en elle-même, l’enquête policière ou encore les messes noires (pourtant toutes évoquées, ce qui densifie encore le propos des éléments nettement plus présents dans le roman, plus détaillé et méticuleux dans la partie précédent l'exorcisme proprement dit), on comprend dès lors que le personnage de Kinderman, qui apparaît très peu à l’écran, est essentiel au bon déroulement de l’histoire, permettant de mettre en relation le père Karras et la mère de Regan. Ces trois personnages constituent les trois pôles du script : ils personnifient un élément clef de l'intrigue et cristallisent chacun des angoisses différentes de la communauté. Ellen Burstyn est complètement à son aise dans la peau de cette actrice célèbre, vivant séparée de son mari et élevant sa fille unique dans un cocon chaleureux grâce à une évidente aisance financière. Mais Jason Miller crève l'écran : confesseur chez les Jésuites, le père Karras traverse une véritable crise de Foi liée à la maladie de sa mère qu'il se refuse à placer en institut. Son charme viril attirera l'attention de l'actrice dont il est grand fan qui le choisira (un peu contre toute attente) pour tenter de trouver une solution au mal qui ronge sa fille chérie, sur lequel les plus grands spécialistes de la médecine moderne se sont cassés les dents. Quant au moment le plus fort du film, celui qui nous glace le sang à chaque vision, il s'agit de l'image quasi subliminale du visage du démon lors de la séquence onirique du père Karras. Mise en scène de manière expérimentale pour l'époque, cette scène alterne des images symboliques de l'histoire (le médaillon du père Merrin, une pendule) au milieu d'une figuration d'un drame humain (la mère de Karras s'engouffre dans une bouche de métro sans entendre les cris de ce dernier, symbolisant la détresse de la vieille femme se sentant abandonnée dans sa chambre d'hôpital). Le plan subliminal intervient dans cette mosaïque, un faciès blanc perdu au milieu d'un cadre noir, apparaissant dans un silence presque total. Friedkin parvient de ce fait à provoquer la peur par une image que nous voyons à peine, mais que nous ressentons pleinement grâce à l'émotion mise à nue révélée par cette terrible figuration morbide entre un fils et sa mère. Plus de cinquante ans après sa sortie, Il conserve sa place tout en haut du panthéon des films d'horreur qu'il occupe avec "Shining" (Stanley Kubrick, 1980), "Aliens" (Ridley Scott,1979), "Carrie" (Brian de Palma, 1973), "Massacre à la tronçonneuse" (Tobe Hooper,1973), "Rosemary's baby" (Roman Polanski, 1968) ou encore "The thing" (John Carpenter, 1982). À sa sortie, peu le savent, mais L'Exorciste fera figure de sésame qui ouvrira définitivement les portes des grands studios américains au genre. L'horreur graphique va se démocratiser en salles et des films comme Damien, La malédiction, Carrie ou encore Amityville vont s'engager dans le sillon fraichement tracé par le succès de Friedkin... Pas étonnant dans ces conditions, que L'Exorciste soit régulièrement cité comme l'un des plus grands films d'horreur de tous les temps. Mais c'est aussi parce que William Friedkin, cinéaste du réel, aussi intransigeant qu'indomptable, prend le temps nécessaire pour donner de l'épaisseur à son sujet. Il présente les personnages, leurs névroses, leur fragilité, leurs contradictions et enclenche les situations pour qu'au bout d'une quarantaine de minutes, une fois les enjeux posés et les hostilités lancées, le public ait suffisamment mordu à l'hameçon pour être plongé au cœur de l'horreur. Le film a engendré 402,5 millions de dollars à travers le monde, une véritable performance. Devant ce succès phénoménal, il a donné naissance à une saga qui s’est poursuivie d’abord en 1977 avec "L’exorciste 2 : l’hérétique". Il faudra attendre 1990 pour voir le 3ème volet nommé "L’exorciste, la suite" (ou "The exorcist III"). L’année 2004 voit la préquelle apparaitre ("L’exorciste : au commencement"), ce qui équivaut à dire que des années après, on cherche encore à surfer sur l’immense réussite cinématographique (et commerciale) qu’a été "L’exorciste". Car ça en est une, enrichie de quelques scènes supplémentaires depuis 2001 (que je considère comme inutiles pour la plupart). L'Exorciste reste en tout point un classique incontesté à la limite boulversant, autant que dérangeant et choquant.
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Tori Windsor
5つ星のうち5.0 Why I love it
2013年11月5日にアメリカ合衆国でレビュー済み
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レポート
nicrossi
5つ星のうち5.0 Great movie!
2023年12月21日にアメリカ合衆国でレビュー済み
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pery pascal
5つ星のうち5.0 Formidable, et état parfait
2024年5月30日にフランスでレビュー済み
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