5つ星のうち5.0Another work of beauty and innocence and awe from the Innocence Mission
2015年11月10日にアメリカ合衆国でレビュー済み
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A completely brilliant record by an artistically sublime group. The sense of awe, and humanity, the connection to nature and God ... this music rivals the best poetry of Wordsworth. It is beautiful without being trivial, it is simple without being superficial, it is pious without being dogmatic. In short, it open the listener up to a world of beauty and wonder. Karen's lyrics have never been better, Don's guitar playing is a revelation. Just an amazing work. I recommend this record without reservation.
Das Jahr 2011 hatte eine ganze Reihe solider Alben zu bieten, doch auffällig war, dass es kaum richtig tolle Platten gab, die das Prädikat 'göttlich' verdient hätten. MY ROOM IN THE TREES allerdings gehört für mich unbedingt in die Spitzengruppe des durchwachsenen Jahrgangs. Schöne und melancholische Melodien, sparsam instrumentiert und doch gekonnt akzentuiert mit Klavier, Melodica oder Cello, dominierend jedoch ist der wunderbare, klare, fast zarte Klang diverser Akkustik-Gitarren. Einfach schöne Musik. Und über allem die tolle Stimme von Karen Peris: in dieses Album habe ich mich beim ersten Hören verliebt. Ein Folkalbum der leisen Töne. Und selbst als Nicht-Christ muss ich gestehen: selten habe ich ein so überzeugendes Glaubensbekenntnis gehört wie GOD IS LOVE, mein persönliches Highlight. Der perfekte Folksong. Ganz gut, dass das Trio sich von den großen Plattenfirmen abgewendet hat (oder wurde) und jetzt im Kleinen wahre Preziosen schafft, die es bei einem Major kaum unterbringen könnte. MY ROOM IN THE TREES ist für mich nicht weniger als die Rettung des vergurkten Musikjahrs 2011!
Une écoute, une seule, et je le sais d'ores et déjà... Je n'ai plus qu'a l'adapter à mon quotidien, soigner une nouvelle fois ma vie au son de la douceur qu'il m'inspire et m'enivrer des arômes multiples de menthe, d'odeur de blé, celui de la mer , des vacances en super huit oubliées que l'on n'ose plus regarder ... J'ai l'air de narrer ainsi simplement des stéréotypes, mais c'est très précisément ce que m'inspirent leurs disques, les bandes sonores mélancoliques qui manquaient affreusement pour illustrer une réminiscence que l'on prendra presque plaisir à s'inventer.
La formule magique qu'on trouvé Karen et Don Peris est ainsi salutaire, en ces temps ou le terme même de musique parait si galvaudé , foulé à terre et blessé.
Retrouver encore, après We Walked In Songs, Befriended, cette même sensation d'honnêteté dans l'écriture est une réelle bénédiction, comme s'ils étaient dorénavant définitivement incapables de nous décevoir.
L'autarcie dans laquelle ils créent apparaît dorénavant tel un havre de paix, il semblerait qu'ils y aient trouvé une source inépuisable de mélodies toujours aussi renversantes et indémodables , la marque des albums que l'on réécoutera dans vingt ans avec nostalgie cette fois ci...