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ハウスメイド [Blu-ray]

3.3 5つ星のうち3.3 453個の評価

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Blu-ray 通常版
¥5,321
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フォーマット 色, ドルビー, ワイドスクリーン, 吹き替え, DTS Stereo, 字幕付き
コントリビュータ チョン・ドヨン, ユン・ヨジョン, イ・ジョンジェ, イム・サンス, ソウ
言語 韓国語
稼働時間 1 時間 47 分

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商品の説明

『母なる証明』『息もできない』を越える衝撃。従順だったメイドの、恐ろしい復讐が始まる―。

巨匠マーティン・スコセッシもリスペクトし、映画史に輝く傑作と讃えられる故キム・ギヨン監督の『下女』(60)を、海外でも圧倒的な評価を集めるイム・サンス監督がリメイク。
主演はカンヌ国際映画祭主演女優賞に輝き、韓国で2010年を最も輝かせた女優NO.1に選ばれたチョン・ドヨンと、日本でも大人気のイ・ジョンジェが競演。
老練なメイド役には、本作でアジアンフィルムアワード最優秀助演女優賞、大鐘映画賞最優秀助演女優賞、青龍映画祭助演女優賞等、各国の映画賞で6冠に輝くベテラン女優ユン・ヨジョン。
カンヌ国際映画祭のコンペティション部門出品や、トロント国際映画祭でのGARA上映等、世界でも名だたる映画祭に正式に出品。
韓国国内のみならず、ヨーロッパやアジアの国際映画祭で高く評価された豪華邸宅を舞台に繰り広げられる、禁断にして究極のサスペンス作品。

【『下女』とは・・・】
故キム・ギヨン監督の1960年制作の韓国映画。
上流階級の家庭に新しい家政婦がやって来ることで裏切り、残酷さ、性的なオブセッションが表面化する様子を妥協のない描写で表現した作品で、当時の韓国社会に大きな衝撃を与え、大旋風を巻き起こした。今でも韓国を代表とする映画と言えばこの作品で、世界に傑作として広く認められており2007年には、巨匠マーティン・スコセッシのサポートと韓国映画資料院の助力により、デジタルリマスター化され、2008年にはカンヌ国際映画祭で特別上映となり、それ以来世界の各地の映画祭で上映されている。

【ストーリー】
上流階級の邸宅で、メイドとして働くことになったウニ。家事全般、そして双子を妊娠中の妻ヘラと6歳になる娘ナミの世話が彼女の仕事だった。
古株のメイド・ビョンシクの厳しい指導のもと、ウニは明るい笑顔を絶やさず、一所懸命に働く。
ある日、主人のフンに求められたウニは、己の欲望に素直に従い、関係をもってしまう。やがて妊娠をしてしまったウニに、目ざとく気づいたビョンシシクが、妻の母親に密告する。
邸宅を出て一人で産もうと決意するウニ、残酷な手を使ってでも出産を阻止しようとする妻と妻の母、ビョンシクの謎の行動…
各々の欲望で破裂しそうな邸宅で、遂に事件が起きてしまう。

【キャスト】
チョン・ドヨン、イ・ジョンジェ、ユン・ヨジョン、ソウ

【スタッフ】
監督:イム・サンス

【特典映像(予定)】(収録予定約30分)
メイキング(約15分)
監督来日インタビュー(約15分)
予告編集(オリジナル予告編/日本版予告編)
キャスト・スタッフ プロフィール(静止画)
プロダクションノート(静止画)

登録情報

  • アスペクト比 ‏ : ‎ 2.35:1
  • メーカーにより製造中止になりました ‏ : ‎ いいえ
  • 言語 ‏ : ‎ 韓国語
  • 製品サイズ ‏ : ‎ 25 x 2.2 x 18 cm; 99.79 g
  • EAN ‏ : ‎ 4907953042339
  • 監督 ‏ : ‎ イム・サンス
  • メディア形式 ‏ : ‎ 色, ドルビー, ワイドスクリーン, 吹き替え, DTS Stereo, 字幕付き
  • 時間 ‏ : ‎ 1 時間 47 分
  • 発売日 ‏ : ‎ 2012/4/3
  • 出演 ‏ : ‎ チョン・ドヨン, イ・ジョンジェ, ユン・ヨジョン, ソウ
  • 字幕: ‏ : ‎ 日本語
  • 販売元 ‏ : ‎ Happinet(SB)(D)
  • ASIN ‏ : ‎ B006M9VXWC
  • ディスク枚数 ‏ : ‎ 1
  • カスタマーレビュー:
    3.3 5つ星のうち3.3 453個の評価

カスタマーレビュー

星5つ中3.3つ
5つのうち3.3つ
453グローバルレーティング

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上位レビュー、対象国: 日本

2024年4月8日に日本でレビュー済み
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こちらの作品は、金持ちもそうだが女性陣も怖ろしい…。
大オバサンの女史も一体どちらの味方なんだろうという立ち位置。

ラストシーンには唯一見方だったナミには超トラウマレベル…。
そして、その後にまた若いメイドさんが雇われているのがスゴい…。

最後に作中の1時間15分頃のシーンで、画面上で旦那様の左後ろを歩く秘書がスベってるのがウケますネ。
2024年4月24日に日本でレビュー済み
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メイドは美人、可愛くて魅力あふれる人じゃなきゃだめでしょう、
こんな田舎臭くて魅力なしのメイドじゃ見る気も失せる
そもそも、このメイドじゃ主人の食指も動かないでしょう
1人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2022年11月9日に日本でレビュー済み
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まずプライムページの内容紹介が無茶苦茶です。サスペンスじゃありませんし、ましてやホラーなんかのわけがありません。
富裕層の家族とそこに住み込みで働く貧困層らしき家政婦との間に繰り広げられるドロドロを描いた普通の人間ドラマです。途中までは安っぽいメロドラマかエロドラマといった趣きですが、トータルでは1930年公開の日本映画『何が彼女をさうさせたか』に通じるものがあったりもします。
話としてはそれほど悪くないと思うのですが、カメラワークがひどい。全部手持ちなんでしょうかね、画面がいつも揺れていて気持ち悪くなってしまいます。
ラストの急展開が強引すぎるのも残念。星2.5といったところ。
5人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2024年3月17日に日本でレビュー済み
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最後にこの映画「下女( 1960)」を下地にしたリメイクだという記述があり、なるほどと。
韓国映画史上最高傑作とも言われている作品らしいので、断然そっちを観たくなった。
主人公に共感できる要素が一つもなかったので、無感情のまま観終わりました(汗)
大きな痣があったり、女友達との距離感だったり、謎めいたまま、一体何がしたかったのかよくわからないまま、一生を終えてしまった感じ。富裕層の醜悪さと滑稽さだけを描きたいわけではないと思うのですが、エンタメとしても煮え切らない、駄作。役者たちの演技だけは超一流なので飽きずに観れましたが、、
2021年2月1日に日本でレビュー済み
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何の期待もしないで観た。

最初の30分くらいは
退屈で観るのをやめようと思ったが

いっけんなんの『意志力』
も持っていないような

この主人公のメイド女性の本心の気持ちの『軸』はいったい
どこにあるのだろう?と思いながら

途中から
だんだんと
この奇妙で理不尽すぎる
物語に引き込まれていった。

最後の終わりかたが
最高によかった。

主人公のこのメイドの
女性の本質が最後
見事に現れていたと思う。

腐りきった金持ち野郎たちが

自分が死んだ後
どんなことがあっても
こいつらが生きてる限り
記憶から簡単に消せないほどのトラウマになるような
死に方の選択を

主人公のメイドの
女性は本能的にあのような
死に方を最後 選んだのだと思う。

主人公のこのメイドの女性が
もし中途半端に

お金も含めた損得勘定ができたりするような
世間の要領をわかっている
ごく普通のどこにでもいるような人間なら

最後、逆にあそこまで
あっぱれな死に方は
絶対に絶対にできなかっただろう。

腐りきった金持ち野郎たちの
『心を抹殺』させる
あのような死に方を選んだ
この主人公のメイドの
女性は見事だったと思う。

そして役者たちの
あのなんともいえない独特な
空気感をはなった演技は本当に素晴らしかった。
9人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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2024年3月19日に日本でレビュー済み
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お子様のナミ以外全員どこか欠落している感のままズルズルと話が進んでいく。
私が一番注目・共感したのは先輩メイドのおばさんで、言う事為すことがクルクル変わっていく。
結局共同体が壊れるときは、こういう分裂人格の言動が引き金となるような気がする。
それにしてもエロスの描き方が上手いし女優さんは美しいし、こんな映画があったとはお見逸れしました。
ラストはバッドエンドにするにしろ、私ならどう描くのがよかったのかなぁと考えてしまいますね。
2024年2月15日に日本でレビュー済み
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時間の無駄だったなー。
何あの復讐
1人のお客様がこれが役に立ったと考えています
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BZT
5つ星のうち5.0 👍👍👍👍👍
2023年12月7日にアメリカ合衆国でレビュー済み
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Beautiful Asian women
JSR
5つ星のうち5.0 An excellent piece of cinema.
2024年4月14日に英国でレビュー済み
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This is marketed as "a sexy thriller". It's so much more than that; it's such a strong story. The performance of the lead actress is absolutely magical.
John S.
5つ星のうち5.0 Asian classic still shocking till this day
2023年3月24日にドイツでレビュー済み
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A tale about social class and power abuse, still relevant to this day. What makes it a classic is the story doesn't deal with the theme in a sentimental or idealized way: it shows in a credible way the manipulation from both sides in a servant-master relationship.
Chantelle Graham
5つ星のうち5.0 GREAT foreign film!
2019年8月14日にカナダでレビュー済み
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This was an awesome foreign movie. I LOVED IT. It's not especially "scary", more of an arthouse psychological/ sensual thriller. Film likely adapted from a theater piece. So good. 5 stars.
LD
5つ星のうち4.0 Im Sang-soo en deux films : le parasitisme bon chic mauvais genre
2022年10月29日にフランスでレビュー済み
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Im Sang-soo s’est fait connaître avec trois films tous trois (très) estimables : Une Femme coréenne (2003), The President’s Last Bang (2005) et Le vieux jardin (2007). Les amateurs du cinéma coréen les appréciaient, les critiques aussi dans l’ensemble. Cela s’est un peu gâté avec son remake de La Servante de Kim Ki-young (1960) – sorti sous le titre anglais The Housemaid (2010) – et plus encore avec L’Ivresse de l’argent (2012). Ces deux films sont cousins : les turpitudes de la grande bourgeoisie y sont étalées avec une gourmandise non dissimulée, jusqu’à la caricature.

Im Sang-soo assure qu’il n’aime pas beaucoup le film de Kim Ki-Young (disponible en dvd et blu-ray chez Carlotta). Il faut avoir du cran, non seulement parce que comme pour tout remake on s’expose à être évalué en fonction de l’œuvre originale, mais aussi et surtout parce que La Servante a un statut à part dans le cinéma coréen. Il y a peu de films isolés qui aient dans une cinématographie nationale une place aussi centrale. Si l’on a vu à la fois La Servante et le récent méga-succès de Bong Joon-ho Parasite, on voit bien ce que le deuxième doit au premier. Il va de soi, pour se cantonner à des œuvres des dernières années, que le Mademoiselle de Park Chan-wook lui doit aussi beaucoup, etc. Si le côté mélodrame exacerbé du film aura fait florès dans le cinéma coréen ultérieur, son audace en matière de jeu de massacre et d’examen des perversions au sein de l’unité familiale aura de toute évidence été pour beaucoup de cinéastes coréens un modèle. Bong Joon-ho reconnaît qu’en écrivant Parasite il était conscient des influences diverses, à commencer par celle de Kim Ki-young. Sans doute sensible au fait que le film a vieilli par certains côtés, Bong Joon-ho a eu l’intelligence de ne pas refaire une adaptation plus ou moins cachée de La Servante, et si lui aussi examine les rapports de classe dans son pays, il le fait en définitive très différemment. C’est sans doute une des supériorités de Parasite sur The Housemaid, qui ne fait que mettre au goût du jour une histoire au potentiel de subversion un peu éventé avec les décennies.

Cela dit, même un peu éventé, le parfum de scandale de The Housemaid reste plaisant à respirer. Cela est tout d’abord dû à l’art de la caricature, maîtrisé par nombre de cinéastes coréens, qui savent faire passer des traits tracés au crayon parfois un peu gras. On a droit à la totale, en terme de signaux culturels envoyés relativement à cette famille : le père joue son Beethoven le matin avant d’aller travailler, et le soir la famille au grand complet écoute religieusement Maria Callas ; un grand cru est systématiquement débouché, pour se délasser, ou séduire, etc. Tout cela est ‘too much’ sans doute, mais après tout le ‘too much’ n’est pas déplacé lorsqu’il est question de montrer une monstruosité qui ne s’avoue jamais qu’elle en est une, la cachant sous des atours plaisants ou chics.

Car chics, les films d’Im Sang-soo le sont. Ils aiment contempler une surface lisse et sans guère d’autres aspérités que celles que l’irruption d’un corps étranger suscite. A grand renfort de mouvements d’appareil, le cinéaste exploite les lieux avec un goût non dissimulé pour les surfaces et les volumes de ses intérieurs archi-aseptisés, dans lesquels les manifestations de la vie semblent quelque peu déplacées. On a pu reprocher au cinéaste son exploitation immodérée des décors, comme s’il y inscrivait les personnages sans ressentir beaucoup d’intérêt pour eux. Ce n’est sans doute pas faux, et il faut tout le talent d’acteurs plus ou moins chevronnés pour savoir donner de l’épaisseur à des personnages qui pourraient rester jusqu’au bout de pures caricatures. SI Jeon Do-yeon a dans ce film le rôle le plus étoffé à défendre, elle n’est sans doute pas complètement idéale. Reconnaissant bien volontiers qu’elle ne comprenait guère le personnage, n’épousant que très modérément la vision volontiers à gros traits de son metteur en scène, elle cherche à conférer une véracité psychologique aux choix et actions du personnage, ne ramant ainsi de toute évidence pas tout à fait dans le même sens que le cinéaste. Alors que du combat entre l’actrice et le cinéaste il est sorti quelque chose de magnifique dans Secret Sunshine – Lee Chang-dong l’ayant apparemment mise encore plus à rude épreuve que Im Sang-soo – ici on sent bien que quelque chose ne prend pas complètement. Cela dit, ce n’est pas comme si cette actrice ne convenait pas au rôle, c’est juste qu’on la sent plus à l’aise dans certaines scènes que dans d’autres. Si les autres acteurs s’acquittent de leur tâche avec les honneurs, il faut bien distinguer les deux actrices les plus âgées, celles qui interprètent respectivement la vieille bonne et la mère de la maîtresse de maison : c’est souvent grâce à elles deux que le film s’avère tour à tour délectable et lesté d’une certaine mélancolie. Dans le rôle de la bonne, on retrouve une actrice du cinéma coréen qui avait joué dans sa prime jeunesse dans un film de Kim Ki-young, assurant ici le passage de relais avec grand talent. C’est évidemment une excellente idée que de l’avoir ensuite choisie pour interpréter la mater familias surpuissante de L’Ivresse de l’argent : elle y excelle tout autant que dans The Housemaid.

Bref, dans The Housemaid, et plus encore dans L’Ivresse de l’argent, Im Sang-soo allie bon chic et mauvais genre. Son catalogue de perversions, encore plus développé dans L’Ivresse de l’argent, les outrances caricaturales assumées (même s’il ne recherche pas le trash), tout cela rend ces films relativement jouissifs, à défaut d’être complètement réussis. Même s’il a remporté beaucoup de suffrages, certains spectateurs ont trouvé Parasite trop pervers et un peu vain. C’est ce qu’on a reproché, sans doute un peu plus à juste titre, à ces deux films d’Im Sang-soo (ainsi qu’au Mademoiselle de Park Chan-wook). Outre que la pertinence de la façon dont sont examinés les rapports de classe est sans doute plus grande chez Bong Joon-ho, il est évident qu’en définitive les deux films d’Im Sang-soo tiennent du jeu de massacre avant tout, le commentaire socio-politique ne s’avérant pas d’une acuité considérable. Il reste que ces deux films ne riment pas à rien ; s’ils ne tiennent pas de discours articulé, si les éléments de critique sociale ne sont pas d’une finesse infinie, ils n’en existent pas moins pour autant. On a pas mal dit que L’Ivresse de l’argent était un peu plus vain encore par certains côtés que The Housemaid ; il est évident que ce n’est sans aucun doute pas un film d’une grande subtilité, mais il réjouit souvent, ce qui ma foi n’est pas si malvenu par les temps qui courent.

Depuis ces deux films, la carrière d'Im Sang-soo semble avoir bien ralenti. Je ne sais pas à quoi cela est dû, mais quelles que soient les limites de son talent, il en a, et il est dommage qu'il ne continue pas, dans cette direction ou dans une autre.

EDITIONS DVD ET BLU-RAY WILD SIDE DE ‘THE HOUSEMAID’ / EDITION DVD DE ‘L’IVRESSE DE L’ARGENT’

J’ai vu d’abord l’édition dvd britannique de The Housemaid (Axiom Films), puis l’édition blu-ray française (Wild Side). Pour L’ivresse de l’argent, je n’ai regardé que le dvd français (Wild Side). La qualité des masters est bonne dans tous les cas, avec une mention pour le blu-ray Wild Side. Le dvd britannique ne propose que des sous-titres en anglais, alors que les éditions françaises proposent évidemment des VOSTF. Le blu-ray français de The Housemaid propose des suppléments en assez grand nombre (plus que dans le dvd britannique par exemple). Malgré des moments un peu convenus, ils s’avèrent plus intéressants que beaucoup, et c’est également le cas de celui de L’Ivresse de l’argent : on y voit des acteurs souvent un peu perdus, ne comprenant pas bien leur personnage et dans quelle direction rame leur metteur en scène – trop de perversion pour les uns, risque de mettre à mal leur image pour les autres, incompréhension des motivations des personnages pour à peu près tous : on voit bien que si la caricature est un art (certes manié plus ou moins bien, y compris en l’espèce), les acteurs ne voient pas bien à quoi elle rime. Bref, il ressort assez fortement que si tous se disaient que cela ferait bien dans leur CV d’avoir tourné avec Im Sang-soo, à l’épreuve du tournage cela a été difficile pour plus d’un. Bref, dans les deux cas un making-of ne comportant pas que des propos lénifiants visant à expliquer que tout le monde s’est aimé du premier au dernier jour du tournage : même en modérant le propos comme certains le font évidemment, il ressort que cela n’a pas été le cas, et que le metteur en scène a bataillé contre le côté relativement conventionnel de la plupart de ses acteurs, et de leur jeu.

Il est à noter que L’Ivresse de l’argent ne se trouve que difficilement en blu-ray. L’édition blu-ray allemande ne propose en outre pas d’autres sous-titres qu’en allemand. L’édition dvd britannique, qui se trouve sous le titre The Taste of Money, ne propose quant à elle comme souvent que des sous-titres anglais.

Par ailleurs, une très bonne nouvelle édition dvd + blu-ray d’Une Femme coréenne a paru en 2022 chez The Jokers.
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